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1.1.A Liste des drogues illicites
Voir la liste complète en Annexe 1
• Le cannabis est aujourd'hui la drogue illicite la plus consommée dans le pays. Dans le graphique
suivant, nous pouvons voir l'évolution des niveaux de consommation de cannabis entre 1992 et 2021,
chez les personnes âgées de 18 à 64 ans (en %)
• La cocaïne, l'ecstasy/MDMA, les champignons, les amphétamines et l'héroïne sont
les drogues les plus populaires après le cannabis. Voir ci-dessous, l'évolution de la
consommation au fil des ans (entre 1992 et 2017) chez les personnes âgées de 18 à
64 ans (en %).
La consommation de drogues est régulièrement mesurée par diverses organisations,
telles que Santé publique France (SPF) ou l'Observatoire français des drogues et des
toxicomanies (OFDT). Ce dernier produit également des analyses sur ces usages dans
le but d'"éclairer les autorités publiques, les professionnels du secteur et le grand
public sur le phénomène des drogues et des addictions", selon service-public.fr. 22
Les drogues illicites peuvent être trouvées dans des "fours", où vous achèterez
d'abord en personne puis vous pourrez passer des commandes via les réseaux
sociaux en utilisant le code QR qui sera sur l'emballage de la drogue. Ou si un ami ou
un membre de la famille a déjà commandé, vous pouvez demander leur contact pour
passer des commandes.
1.1.B Prix des drogues illicites
figure 1: Magic Mushroom prix ( sources telegram)
figure 2: Magic Mushroom hash prix ( sources telegram)
figure 3: Magic Mushroom xanax prices ( sources telegram)
figure 4: Magic Mushroom Cocaine prix ( sources telegram)
figure 5: Magic Mushroom Ecstasy prix ( sources telegram)
1.1.C Principes déterminant le statut des substances
En France, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) est l'une
des principales agences chargées de réaliser des évaluations scientifiques des risques associés aux
médicaments et aux substances. Ces évaluations portent sur différents aspects, notamment les effets
sur la santé physique et mentale, les risques de dépendance, les effets secondaires et les interactions
médicamenteuses. Les conclusions de ces évaluations sont souvent utilisées pour informer les
décisions réglementaires concernant la classification et la réglementation des substances. Cependant, il
convient de noter que l'ANSM n'est pas la seule agence ou mécanisme impliqué dans la détermination
du statut des substances en France.
En plus des évaluations menées par l'ANSM et d'autres organisations similaires, plusieurs autres
mécanismes peuvent être utilisés pour déterminer le statut des substances en France. Cela peut inclure
des considérations politiques, économiques et sociales, ainsi que la pression des groupes de défense
des consommateurs ou des groupes d'intérêt particulier. En outre, les recommandations et décisions
des organisations internationales, telles que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les
substances contrôlées à l'échelle mondiale, peuvent également influencer la classification des
substances. Les Centres d'Évaluation et d'Information sur la Pharmacodépendance-Addictovigilance
(CEIP-A) jouent également un rôle crucial dans l'évaluation des risques et la surveillance de
l'utilisation des substances addictives en France.
1.4 Liste des drogues légales
• Alcool • Tabac • Analgésiques • Somnifères • Colles • Solvants
Ce sont les drogues les plus populaires en France que vous pouvez acheter légalement dans des
magasins tels que les supermarchés, les tabacs, les pharmacies et d'autres magasins de tous les jours.
Malgré leur légalité, il existe des lois et réglementations en vigueur en France qui restreignent la
consommation ou l'achat de certaines drogues légales à des jours, heures et quantités spécifiques. Par
exemple, la vente d'alcool est interdite entre 22h00 et 08h00 et dans les stations-service entre 18h00 et
08h00, conformément à la réglementation locale visant à réduire la consommation excessive d'alcool
et les troubles publics.
1.5 Listes des produits chimiques contrôlés (précurseurs de drogues)
Voir la liste complète en Annexe 2
CATEGORY 1
CATEGORY 2-A
CATEGORY 2-B
CATEGORY 3
List of countries appearing in Annex IV, point II of Regulation (EC) No.225/2011
amending Regulation (EC) No. 1277/2005 of the Commission of July 27, 2005
CATEGORY 4
1.6 Les sanctions pour la publicité des boutiques en ligne, la vente de drogues
illicites
Le cadre législatif de la France concernant le commerce et la consommation de drogues est strict et
englobe une large gamme de substances. La loi française divise les drogues en différentes catégories
en fonction de leur potentiel d'abus et de leur impact sur la santé publique. Les lois concernant le
commerce et la consommation de drogues en France sont principalement régies par le Code pénal, le
Code de la santé publique et des législations spécifiques sur les substances contrôlées.
Le transfert illicite ou l'offre de drogues à une personne pour sa consommation personnelle est punissable d'une
peine de prison de cinq ans et d'une amende de 75 000 euros.
Mais les peines de prison peuvent aller de plusieurs années à plusieurs décennies, en fonction de la gravité du crime, de la quantité et du type
de drogue impliqués, ainsi que des circonstances spécifiques de l'affaire et de l'individu condamné, qui peut également être soumis à des restrictions légales supplémentaires, telles qu'une interdiction de consommation dans certaines activités commerciales, l'accès à certaines technologies ou même la
réclusion à perpétuité et une amende pouvant atteindre 7 500 000 euros dans les cas les plus graves.
Les drogues sont classées en différentes catégories telles que les stupéfiants, les substances
psychotropes et les produits sous contrôle spécial. La possession, la vente et le trafic de drogues
illicites sont punissables par la loi, avec des peines allant de lourdes amendes à l'emprisonnement, en
fonction de la quantité et de la nature de la drogue impliquée.
La France adopte également une politique de tolérance zéro en ce qui concerne le trafic de drogue, en particulier concernant les
narcotiques tels que l'héroïne et la cocaïne.
De plus, la France a mis en place des mesures pour prévenir la consommation de drogue, notamment des programmes d'éducation et de prévention, des
traitements pour les toxicomanes et l'application de sanctions alternatives pour les utilisateurs non
violents, telles que la participation à des programmes de réadaptation. Cependant, malgré l'application
stricte des lois antidrogue, la France est confrontée à des défis persistants liés au trafic et à la
consommation de drogues, en particulier dans les zones urbaines densément peuplées.
En ce qui concerne le consommateur, qu'il s'agisse de cannabis, d'ecstasy, de cocaïne ou de toute autre substance
psychoactive illicite, la consommation constitue un crime passible d'une peine maximale d'un an de
prison et d'une amende de 3 750 €.
Depuis 2019, en vertu de l'article L.3421-1 du code de la santé
publique, l'usage illicite de stupéfiants peut donner lieu à une amende forfaitaire. Ainsi, une personne
arrêtée pour usage de drogue ou possession de petites quantités peut recevoir une amende forfaitaire
de 200 euros délivrée immédiatement par la police, le paiement de cette amende mettant fin à toute
procédure judiciaire.
• Diriger ou organiser un groupe dans le but de produire, fabriquer, importer, exporter,
transporter, détenir, offrir, transférer, acquérir ou utiliser illicitement des stupéfiants est
passible de la réclusion à perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros. (Article 222-34 du
Code pénal)
• La production ou la fabrication illicite de stupéfiants est punissable de 20 ans de réclusion à
perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros. Ces infractions sont punissables de 30 ans de
réclusion à perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises par un
groupe organisé. (Article 222-35 du Code pénal)
• L'importation ou l'exportation illicite de stupéfiants est punissable de 10 ans
d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros. Ces infractions sont punissables de 30
ans de réclusion à perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises
par un groupe organisé. (Article 222-36 du Code pénal)
• Le transport, la possession, l'offre, le transfert, l'acquisition ou l'utilisation illicite de
stupéfiants est punissable de 10 ans d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros.
(Article 222-37 du Code pénal)
• L'offre ou le transfert illicite de stupéfiants à une personne pour sa consommation personnelle
est punissable de 5 ans d'emprisonnement et d'une amende de 75 000 euros. Cette peine est
portée à 10 ans lorsque les stupéfiants sont offerts ou transférés à des mineurs. (Article 222-39
du Code pénal)
• Le blanchiment des produits provenant du trafic de stupéfiants est punissable de 10 ans
d'emprisonnement et d'une amende de 750 000 euros. (Article 222-38 du Code pénal)
2 Caractérisation du trafic de drogue en France
2.1 Compilation d'une liste de vendeurs en ligne locaux et de leur trafic sur leurs sites Web
Certains des sites les plus populaires en France pour acheter sont : Telegram : NiceWeedMarket ( 636
abonnés ) , Jaune mousseux Frenchweed ( 2K3 abonnés ), uberweed31 ( 676 abonnés ) Snapchat :
Caliweed coffee 420, anna_emily411, weedhash4200, pablo_weed33 , goodl20233099 Whatsapp :
+33 6 05 80 49 73 Darknet: Cocorico Market ( mais il est hors service, exit scam du propriétaire )
Zamnesia: https://www.zamnesia.fr/
Philosopher Seeds: https://www.philosopherseeds.com/fr/
Shayana Shop: https://french.shayanashop.com/
Royal Queen Seeds: https://www.royalqueenseeds.fr/
2.2 Marchés populaires en France et analyse de leurs sites/web/trafic
Darknet : Cocorico Market ( mais il est hors service, exit scam du propriétaire, dans la
dernière mise à jour)
Telegram : Jaune mousseux Frenchweed ( 2,3K abonnés ), FrenchWeedChemsnotesplug ( 421 abonnés), LA FRAPPE A YODA ( 3,9K abonnés), Dzmafia ( 2633 abonnés ), Mistral38 Lyon (1,4K)
Après que de petits trafiquants de drogue augmentent leur demande, ils s'associent à des groupes de trafiquants qui établissent une petite région comme leur zone
d'activité et définissent un lieu pour que les utilisateurs achètent de la drogue en personne dans des endroits appelés « Fours » ou fours en anglais, augmentant ainsi
leur capacité à acheter et à revendre les drogues. Les drogues achetées sur place sontgénéralement accompagnées d'un code QR sur leur emballage pour encourager les utilisateurs à acheter via la livraison via Telegram ou SnapChat, évitant ainsi les foules sur place et n'attirant pas beaucoup l'attention des autorités. Près des "fours", des flèches seront trouvées dans un rayon de 500 mètres indiquant la direction à suivre jusqu'à atteindre le lieu où les drogues sont vendues, facilitant ainsi la tâche des nouveaux consommateurs pour les trouver.
Normalement, lorsque vous arrivez aux "Fours", vous trouverez des graffitis indiquant certaines informations telles que le nom de l'endroit et les horaires d'ouverture. En recherchant le nom de l'endroit sur les réseaux sociaux tels que Telegram ou SnapChat, vous trouverez le contact de l'un des commerçants ou d'un groupe où vous pouvez vous joindre et surveiller les drogues disponibles et les heures de début et de fin des activités quotidiennes.
Ces endroits sont généralement des immeubles résidentiels où vit un trafiquant de drogue et où il amène d'autres trafiquants de drogue pour s'installer. Il y a des gens violents et armés qui obligent tout le monde à rester silencieux sur les activités de l'endroit. Ces endroits sont toujours situés dans des régions plus pauvres et finissent par attirer les jeunes à travailler dans le trafic de drogue, soit en tant que livreur, soit en tant qu'observateur qui doit surveiller les rues d'accès et crier aux trafiquants de drogue s'ils voient la police. Les jeunes non accompagnés et les personnes aidées par le gouvernement avec des programmes sociaux tels que OQTF sont les principaux employés par les trafiquants car ils ne peuvent pas être 10 détenus, donc s'ils sont capturés par la police, ils seront emmenés au
commissariat, libérés peu de temps après et retourneront à leurs activités de travail. Avec les "Fours", les trafiquants ont maintenant de nouvelles possibilités de mener des campagnes de marketing, par exemple en promouvant des fêtes à thème lors de dates commémoratives telles que Halloween, Noël et
autres.2.3 Campagnes publicitaires
2.3 Campagnes publicitaires menées par les trafiquants de drogue en France
Les petits trafiquants qui débutent sur le marché utilisent des canaux de communication tels que Telegram, Instagram et établissent des contacts individuels
ou de groupe pour promouvoir leurs produits et services. Ils s'engagent souvent dans des interactions sociales dans les communautés locales, que ce soit lors de fêtes, de bars ou d'autres événements, où ils peuvent établir des contacts et gagner la confiance des consommateurs potentiels. Grâce à ces interactions en personne, les trafiquants cherchent à créer une clientèle fidèle qui leur fait confiance pour fournir
des produits de qualité et des services personnalisés. Les trafiquants utilisent également des stratégies visuelles pour différencier leurs photos et vidéos et éviter le
plagiat et accroître la reconnaissance de leurs produits auprès des consommateurs. Cela peut inclure la création de logos ou de marques uniques, l'utilisation de filtres visuels ou d'effets spéciaux, et la publication de contenu promotionnel sur des plateformes en ligne populaires telles que les réseaux sociaux, les forums de
discussion et les sites Web spécialisés. En outre, les trafiquants utilisent des tactiques de vente agressives pour attirer de nouveaux clients et fidéliser leur clientèle
existante. Cela peut inclure des promotions spéciales, des réductions de prix, des offres groupées, des cadeaux gratuits ou des échantillons, ainsi que des incitations financières telles que des rabais pour les clients fidèles ou les références de clients.
Les trafiquants cherchent également à créer un sentiment d'urgence et d'exclusivité en limitant la disponibilité de leurs produits et en utilisant des techniques de vente limitée dans le temps pour inciter les clients à acheter rapidement. Enfin, les trafiquants investissent dans des campagnes publicitaires en ligne pour promouvoir
leurs produits et services auprès d'un public plus large. Cela peut inclure des annonces payantes sur les réseaux sociaux, des bannières publicitaires sur les sites Web pertinents, des partenariats avec des influenceurs ou des personnalités en ligne, ainsi que des campagnes de marketing par e-mail ciblées. En utilisant ces stratégies, les trafiquants de drogue cherchent à augmenter leur visibilité en ligne, à générer dutrafic vers leurs sites Web ou leurs points de vente, et à stimuler les ventes en convertissant les prospects en clients payants.
2.4 Collecte de données en open source sur les sites officiels de la criminalité dans le domaine du trafic de drogue (nombre d'arrestations/saisies au cours des 3 dernières années)
Augmentation des chiffres au fil des ans
En France, le nombre d'arrestations liées au trafic de drogue tend à augmenter
chaque année, et en 2020, il y avait en moyenne 41 200 arrestations, en 2021, il y
avait en moyenne 46 700 arrestations, en 2022, la moyenne était de 49 000 et en
2023, il y a eu une légère baisse, atteignant une moyenne de 48 300 arrestations pour
trafic de drogue dans tout le pays.
Les arrestations pour usage de drogue atteignent des chiffres beaucoup plus élevés,
et tendent également à augmenter, avec une moyenne de 221 300 en 2021, une
moyenne de 251 400 en 2022 et une moyenne de 260 300 arrestations pour usage de drogue en 2023 dans le pays.
Mise en avant de l'année 2022
Le bilan des saisies de drogue pour l'année 2022 a atteint des niveaux historiques.
Pour le cannabis, plus de 128,6 tonnes ont été saisies en 2022 (+15% par rapport à 2021), établissant
un record historique. Le seuil de 125 tonnes a été dépassé pour la première fois. La résine représente
68% des saisies. La teneur en THC dans la résine continue d'augmenter (30%). Pour la cocaïne, les
saisies ont augmenté de 5% pour atteindre 27,7 tonnes. En 10 ans, elles ont été multipliées par 5. 75%
des saisies sont effectuées par voie maritime. 55% des saisies proviennent des Antilles et de la
Guyane, zones de stockage et de rebond pour la cocaïne produite en Amérique du Sud. La teneur
moyenne en principe actif n'a jamais été aussi élevée (72%). Pour l'héroïne, les saisies se sont élevées
à 1,4 tonne en 2022 (+8%).
Pour les drogues synthétiques, la France est à la fois une zone de transit et
de consommation, que ce soit pour l'ecstasy/MDMA, la kétamine ou les nouveaux produits
synthétiques. La consommation de nouveaux produits synthétiques connaît donc une forte croissance,
entraînant une augmentation du trafic, comme en témoigne la saisie de 613 kg de cathinones par les
douanes à Millau en janvier 2022. La consommation de nouveaux produits synthétiques, bien que
encore relativement limitée, est en augmentation.
• Le 3-MMC, dont la consommation était jusqu'à
présent réservée à des cercles très restreints (chemsex), se répand de plus en plus parmi un public plus
large, notamment dans des environnements festifs. Le 3-MMC est un produit très addictif qui
provoque des états délirants et dépressifs, ainsi que des complications somatiques.
• Le 2-CB (cocaïne rose), composé de plusieurs substances illicites (kétamine, MDMA,
méthamphétamine), se développe en parallèle. Les saisies d'ecstasy/MDMA ont augmenté de 6% (1
543 421 comprimés saisis). Elles ont été multipliées par 10 au cours des 10 dernières années. Enfin,
273 kg d'amphétamines et de méthamphétamines ont été saisis (+21%). En 2022, à Paris, la Préfecture
de Police a saisi 657 000 comprimés d'ecstasy/MDMA (contre 99 800 en 2021).
Mobilisation dans la lutte contre la drogue
En 2022, 37 510 trafiquants de drogue ont été impliqués, contre 35 829 en 2021, soit une
augmentation de 4,7%. Pour le seul mois de janvier 2023, 4 148 trafiquants ont été impliqués (+4%
par rapport à décembre 2022). Près de 15 160 opérations de démantèlement de points de vente de
drogue ont été menées, contre 5 849 en 2021 (+159%). Plus de 2 000 opérations sont menées chaque
mois, contre 900 comptabilisées au début de 2022. Entre le 4e trimestre 2020 et le 4e trimestre 2022,
le nombre de points de vente de drogue identifiés par l'OFAST est passé de 4 034 à 3 159 (-22%).
Enfin, la lutte contre la drogue implique également la lutte contre la consommation, le nombre de
contraventions forfaitaires (AFD) délivrées est passé de 106 476 en 2021 à 143 447 en 2022 (+34%).
Depuis sa création, plus de 298 000 AFD ont été délivrées par les forces de l'ordre, dont 288 000 pour
le cannabis, 8 400 pour la cocaïne et 1 400 pour l'ecstasy/MDMA. Les 10 départements émettant le
plus d'AFD en 2022 :
Seine-Maritime 3,960
Hérault 4,058
Hauts-de-Seine 4,567
Yvelines 4,848
Seine-et-Marne 4,867
Nord 6,063
Rhône 6,114
Seine-Saint-Denis 6,391
Paris 8,982
Bouches-de-Rhône 19,718
Le nombre de personnes impliquées pour usage de drogue est passé à 249 800 en 2022, soit une
augmentation de 13% par rapport à 2021 suite à une augmentation de 38% en 2021, l'année suivant le
confinement.
Bilan du CROSS et de la plateforme de signalement
En 2022, les Cellules de Renseignement Opérationnel sur les Stupéfiants (CROSS), situées dans
chaque département, chargées de capturer et de diffuser des renseignements opérationnels sur les
stupéfiants, ont reçu 11 214 informations, dont 4 476 ont donné lieu à un rapport de renseignement
(40%). Ces rapports ont conduit à 1 491 procédures judiciaires et 103 procédures douanières (taux de
judiciarisation : 33,3%). Ces procédures ont notamment conduit à :
• 3 103 arrestations, suite auxquelles 1 092 individus ont été incarcérés ;
• le démantèlement de 376 réseaux ;
• des saisies de 16 tonnes de cannabis, 3,4 tonnes de cocaïne, 141 kg d'héroïne, 162 kg de
drogues synthétiques, 407 armes, 216 véhicules et plus de 11 millions d'euros d'avoirs criminels.
Depuis la mise en place de la plateforme de signalement sur moncommissariat.fr, 17 559 signalements
ont été déposés.
Parmi les 1 491 procédures judiciaires ouvertes en 2022, 43,7% ont été initiées ou
enrichies par le portail de signalement (soit 652).
Mise en place d'une approche sécuritaire pour les plates-formes logistiques
Les douanes, le ministère des Transports (DGITM), l'OFAST, l'autorité judiciaire, le secrétariat général
de la mer et les autorités préfectorales mettent en œuvre une approche sécuritaire pour les plates-formes logistiques françaises, notamment les terminaux à conteneurs. Cette approche vise à améliorer la protection des installations logistiques contre les infiltrations criminelles tout en renforçant la capacité de contrôle des services douaniers au sein des terminaux portuaires. À cette fin, un plan unique d'équipement des ports est en cours, visant au déploiement de scanners mobiles dans les grands ports à partir de 2024, notamment au Havre, à Marseille, à Dunkerque, à Saint-Nazaire et aux Antilles. Enfin, les douanes, en étroite collaboration avec l'OFAST et l'autorité judiciaire, luttent activementcontre l'infiltration criminelle des plates-formes logistiques. Plusieurs réseaux criminels opérant au cœur des ports, des aéroports et des centres de fret express ont été démantelés en 2022.
Indication des peines minimales et maximales pour la vente, l'achat et la possession de drogues illégales
La contravention est une sanction pénale prononcée en dehors d'un procès. La décision est prise par un
policier, un gendarme ou un agent public autorisé qui constate cette infraction (agent des douanes...).
Ainsi, si vous êtes arrêté par des policiers ou des gendarmes en train de consommer des drogues
illicites. Les drogues interdites comprennent, par exemple, le cannabis, l'ecstasy, la cocaïne, le LSD...
ou en possession de petites quantités, vous pouvez recevoir une contravention. Cette sanction consiste
à verser une somme d'argent au Trésor public.
Le montant de la contravention est de 200 euros. Le montant de la contravention réduite est de 150 euros s'il est payé dans les 15 jours. Le montant de la
contravention est porté à 450 euros s'il n'est pas payé dans les 45 jours. La production ou la fabrication
illicite de drogues est punissable de vingt ans d'emprisonnement criminel et d'une amende de 7 500 000 euros.
Ces infractions sont punissables de trente ans d'emprisonnement criminel et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises par une bande organisée. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatifs à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent
article. L'importation ou l'exportation illicites de drogues est punissable de dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros.
Ces infractions sont punissables de trente ans d'emprisonnement criminel et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises par une bande organisée. Le transport, la détention, l'offre, la vente, l'acquisition ou l'utilisation illicite de drogues est punissable de
dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros.
Les mêmes peines s'appliquent à faciliter, par tout moyen, l'utilisation illicite de drogues, à obtenir des drogues par le biais de
prescriptions fictives ou laxistes, ou à délivrer des drogues sur présentation de telles prescriptions en
connaissant leur caractère fictif ou laxiste.
Faciliter, par tout moyen, la fausse justification de l'origine des biens ou des revenus de l'auteur de l'une des infractions mentionnées aux articles 222-34 à 222-37
ou aider à une opération de blanchiment, de dissimulation ou de conversion du produit de l'une de ces
infractions est punissable de dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 750 000 euros.
L'amende peut être portée jusqu'à la moitié de la valeur des biens ou des fonds impliqués dans les opérations de
blanchiment.
Lorsque l'infraction concerne des biens ou des fonds provenant de l'un des crimes mentionnés aux
articles 222-34, 222-35 et 222-36, deuxième paragraphe, l'auteur est puni des peines prévues pour les
crimes dont il était conscient.
La vente ou l'offre illicite de drogues à une personne pour sa consommation personnelle est punissable
de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 75 000 euros.
La peine de prison est portée à dix ans lorsque des drogues sont offertes ou vendues, dans les
conditions définies au paragraphe précédent, à des mineurs ou dans des établissements éducatifs ou de
formation ou dans des locaux administratifs, ainsi que lors de l'entrée ou de la sortie d'élèves ou du
public ou à un moment très proche de ceux-ci, à proximité de ces établissements ou locaux.
Voici un résumé des peines encourues pour la possession et le trafic de drogues en France :
Pour la possession :
Cannabis :
• Jusqu'à 1 an de prison et une amende de 3 750 euros pour l'usage
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros pour la possession
Cocaïne, ecstasy, héroïne :
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros pour l'usage
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros pour la possession
Pour le trafic :
Cannabis :
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros
Cocaïne, ecstasy, héroïne :
• Jusqu'à la réclusion à perpétuité et une amende de 7 500 000 euros
Circonstances aggravantes (gang organisé, utilisation d'un mineur, etc.) : peines accrues
La peine dépend de la quantité de drogue, avec des seuils fixés par la loi.
Les peines peuvent être ajustées en fonction des circonstances et à la discrétion du juge. La récidive
entraîne également des sanctions plus lourdes.
2.5 Les drogues illégales populaires en France
Les drogues les plus populaires en France sont :
• Le cannabis : la drogue la plus répandue avec 17 millions de Français l'ayant consommée au moins une fois, et 1,4 million en consommant régulièrement.
• La cocaïne : environ 600 000 utilisateurs par an selon l'OFDT.
• L'ecstasy et autres drogues synthétiques : environ 500 000 utilisateurs par an selon l'OFDT.
• L'héroïne : entre 150 000 et 180 000 utilisateurs selon une étude publiée en 2013.
• Les poppers : environ 400 000 consommateurs réguliers.
• Les champignons hallucinogènes : environ 700 000 expérimentateurs en France selon une étude de 2015.
• Le LSD : environ 1,1 million de personnes l'ont essayé.
On peut observer que le cannabis domine largement le marché de la drogue en France. La cocaïne est loin derrière mais semble
se propager davantage, notamment dans les environnements festifs et dans certaines grandes villes.
2.6 Drogues légales populaires dans votre pays (quelles drogues populaires sont légales en France et où peuvent-elles être achetées légalement en ligne/hors ligne)
• Salvia divinorum, une plante dont l'utilisation induit des hallucinations intenses, ipomoea tricolor,
noix de muscade, kratom, et datura, ce dernier étant très toxique et couramment utilisé comme plante
d'intérieur ou d'extérieur pour son aspect décoratif.
• Médicaments : Les médicaments peuvent être utilisés de manière récréative, notamment les benzodiazépines
(Lexomil, Valium), utilisées pour leurs effets secondaires (intoxication, euphorie, relaxation profonde,
sensation de "mou"). Le zolpidem, un dérivé des benzodiazépines mieux connu sous le nom
d'"Ambien", est un médicament particulièrement populaire aux États-Unis, où de nombreuses vidéos
postées sur le web montrent ses effets (relaxation intense, hallucinations, euphorie, etc.).
D'autres médicaments opioïdes contenant de la codéine ou du tramadol sont également consommés de
manière récréative, notamment le tramadol, qui, en plus des effets des opioïdes, agit sur la recapture de
la sérotonine, de manière similaire à de nombreux antidépresseurs. Bien que ces médicaments
nécessitent une prescription médicale, ils sont facilement accessibles, ce qui en fait une drogue
quelque peu légale, même si leur utilisation récréative est interdite.
Le dextrométhorphane dissociatif (DXM) est légal mais nécessite une prescription médicale.
• Solvants : De nombreux solvants, tels que l'éther diéthylique, l'essence, le butane, l'oxyde nitreux, ainsi que
certains colles, aérosols ou produits de nettoyage chimiques, sont utilisés par les toxicomanes ou les
jeunes adolescents pour "planer". Les solvants sont considérés comme des "drogues sales",
extrêmement dangereux lorsqu'ils sont inhalés, car leur mode d'action, contrairement à d'autres
drogues qui agissent sur les récepteurs, est de détruire les neurones, entraînant un effet "dissociatif".
Ils peuvent être trouvés dans les magasins.
• CBD : Le cannabidiol, également connu sous le nom de CBD, est un médicament légalisé en France
et peut être trouvé dans les magasins de CBD.
3. Une caractéristique du trafic de drogue hors ligne en France.
Le trafic de drogue hors ligne en France se caractérise par une expansion rampante, où les trafiquants
prospèrent malgré les efforts des forces de l'ordre. Les saisies massives de cocaïne et de cannabis
indiquent une activité florissante, alimentée par des réseaux sophistiqués établis dans les zones
urbaines en relation avec le Maroc ou d'autres endroits comme la Guyane pour la cocaïne. Ces
organisations n'hésitent pas à recourir à la violence et à la corruption pour protéger leurs intérêts. De
plus, la diversification des produits et l'adoption de stratégies marketing modernes, telles que les
livraisons à domicile, l'amélioration des produits (vente de marchandises falsifiées, offres de cadeaux
supplémentaires), et la facilité de vente au bas des cités avec des systèmes de "Drive", par exemple, où
l'on commande directement depuis la voiture et on récupère un peu plus loin, ainsi que la promotion
sur les réseaux sociaux (Snap et Telegram) comme expliqué précédemment, démontrent l'adaptation
des trafiquants aux demandes du marché et aux progrès technologiques.
3.1 Une liste de tous les points d'attraction géographiques connus pour les consommateurs de drogue.
1. Les grandes agglomérations urbaines, notamment Paris, Marseille, Lyon et Lille, où l'on trouve de
nombreux points de vente de drogue et des zones de consommation en raison de la grande population.
2. Les zones frontalières, telles que la frontière franco-espagnole et la frontière franco-belge, qui sont
utilisées pour le trafic de drogue en provenance d'autres pays européens.
3. Les régions côtières, comme la Côte d'Azur française et la région méditerranéenne, qui servent de
points d'entrée pour les drogues en provenance d'Afrique du Nord, par exemple, Marseille.
4. Les zones rurales et les petites villes, où les trafiquants opèrent de manière plus discrète mais
toujours activement, souvent en profitant d'une moindre surveillance policière.
5. Les zones de vie nocturne, telles que les discothèques et les bars des grandes villes, où la
consommation de drogue est souvent associée à la fête et à la vie nocturne.
Marseille est la capitale de la drogue !
Histoire du trafic de drogue : Marseille a une longue histoire associée au trafic de drogue, remontant
aux années 1980 lorsque le monde souterrain corso-marseillais dominait le paysage criminel de la
ville. Depuis lors, le trafic de drogue a évolué, impliquant désormais des groupes ethniques divers,
notamment d'origine maghrébine et comorienne.
Rôle des quartiers nord : Les quartiers nord de Marseille sont souvent cités comme des points
chauds pour le trafic de drogue. Ces zones, caractérisées par le chômage, le décrochage scolaire et la
pauvreté, ont vu émerger une "économie de survie" en réponse à la marginalisation sociale.
Trafic de drogue : La France compte 3 952 points de vente de drogue.
Le résultat, à la fois spectaculaire et alarmant, confirme l'ampleur de la tâche dans la lutte contre les narcotiques que les forces de l'ordre visent à mener, des opérations internationales aux couloirs d'immeubles. Selon des chiffres que nous révélons exclusivement, la France compterait désormais 3 952 points de vente de drogue. Cette compilation sans précédent révèle l'ampleur du phénomène. En France métropolitaine, seules la Lozère et les Hautes-Alpes, selon le ministère de l'Intérieur, n'ont aucun point enregistré. Cela ne signifie pas que le cannabis ne peut pas y être trouvé, mais dans ces départements, les ventes se font plus par le bouche-à-oreille ou à la volée plutôt que dans un véritable point de vente fixe.
La Seine-Saint-Denis, le Rhône et le Nord mènent la danse en revanche, sans surprise, les grands centres urbains sont beaucoup plus affectés par la présence de
ces vendeurs de marijuana et de cocaïne. En tête de ce sombre classement se trouve la Seine-Saint-Denis, qui compterait 276 points de vente de drogue. "C'est le fléau numéro un du département", déclare un magistrat stationné dans le 93. "Cela perturbe une partie de la jeunesse attirée par l'argent facile. Certains jeunes ne peuvent même pas imaginer faire autre chose que dealer, ce qui ne peut que les conduire à la mort ou en prison." "Dans certains quartiers du département, dès qu'il y a un escalier, Il y a un point de vente", ajoute un haut fonctionnaire, qui estime que le chiffre de 276 est plutôt optimiste.
Le Rhône et le Nord complètent le podium avec plus de 250 endroits pour se procurer des narcotiques. D'autres départements d'Île-de-France figurent également bien dans la liste, avec entre 66 plans de drogue à Paris et 128 dans le Val-d'Oise. "Dans les grandes villes, la clientèle est importante, et la drogue est l'activité criminelle la plus lucrative", souligne un policier spécialisé. "Le trafic soutient de nombreuses personnes, et un point de vente de drogue peut générer
jusqu'à 50 000 euros par jour." Étonnamment, loin des grandes villes, certains départements ont une forte concentration.
C'est notamment le cas dans le Vaucluse et la Loiret, receveurs des plaques parisiennes et marseillaises, où il y aurait respectivement 15 et 10 points de vente de drogue pour 100 000 habitants. Outre-mer, la Guadeloupe et la Martinique sont également touchées, avec 129 et 50 points de vente pour un peu plus
de 350 000 habitants respectivement. Sur les cartes ci-dessous, nous voyons toutes les régions affectées par les crimes liés au trafic de
drogue et à la consommation en France en 2019, lorsque les chiffres ont été publiés pour la dernière fois. En surveillant les actualités liées au sujet, il est possible de constater que les régions indiquées sur la carte avaient tendance à maintenir les mêmes chiffres et, dans certaines régions, il y a une tendance
à la hausse depuis la dernière publication publique.
En particulier, il y a eu une forte augmentation du trafic de drogue dans certaines régions, ce qui a incité le gouvernement à investir davantage d'efforts dans la lutte contre le trafic de drogue dans ces endroits. La carte ci-dessous montre les principaux sites connus pour le trafic de drogue en France.
4. Une liste complète de sites web thématiques, de groupes Telegram ou de chaînes, et de communautés sur Discord ou d'autres réseaux sociaux couvrant les actualités liées à l'usage de drogues et au trafic de drogues en France.
Site Web :
5. Une liste des moyens anonymes les plus connus pour acheter des cryptomonnaies dans votre pays. Une liste des systèmes de paiement populaires utilisés par les fraudeurs et les trafiquants de drogue. Estimation générale de l'utilisation des cryptomonnaies pour l'achat de drogues.
Acheter des cryptomonnaies anonymement en France peut être difficile en raison des réglementations actuelles strictes qui exigent que les utilisateurs s'identifient. Cependant, il est toujours possible d'acheter des cryptomonnaies en ligne de manière relativement anonyme via les plateformes suivantes qui ne nécessitent actuellement pas de KYC pour initier des transactions :
• https://hodlhodl.com/
• https://paxful.com/fr
• https://localcoinswap.com/
• https://learn.robosats.com/
Une autre option est d'utiliser des distributeurs automatiques de cryptomonnaies. Ces guichets permettent souvent d'acheter des cryptomonnaies en espèces sans avoir besoin de fournird'informations personnelles. Il est possible de localiser tous les distributeurs automatiques en France via ce site web :
• https://coinatmradar.com/country/73/bitcoin-atm-france/
Autres exemples couramment utilisés par les vendeurs sur Whatsapp :
6. La présence de services de livraison de drogues illégales à domicile en France.
Comptes Telegram
• LA FRAPPE A YODA
• DZ MAFIA
• Uber Weed31
• Jaune Mousseux Frenchweed | Parisweed
• WeedLyon
• MarseilleWeedSupply
• NiceWeedMarket
7. Décrivez le portrait d'un consommateur de drogue moyen et d'un trafiquant de drogue moyen.
Trafiquants:
Consommateurs:
figure 9: consommation de la drogue par Age
8. Magasins de réactifs chimiques et d'équipements
https://www.servilab.fr/panier
https://www.labomoderne.com/
https://jeulin.com/lelaborantin_fr/
https://www.nadal-alcools.com/produit/bouteille-d-1-litre-dalcool-90-pour-fruits/
https://www.amazon.fr/éthanol/s?k=éthanol
https://www.labs24.net/
https://www.mon-droguiste.com/produit-chimique/liquide
https://www.arcane-direct.com/fr/23-degraissant-par-aspersion
https://chemical.center/fr/les-bases/7-lessive-de-soude-305
9. Actualités sur les drogues
Parmi les jeunes Français, il y a un grand intérêt à connaître l'évolution des lois concernant la flexibilité de la consommation, notamment en ce qui concerne la marijuana. Certains des portails utilisés pour rester informés sont :
• https://discord.gg/sQw7pjW2BK
• https://www.royalqueenseeds.fr/blog
• https://www.zamnesia.fr/blog
• https://www.growbarato.net/blog/
• https://www.sciencesetavenir.fr/
• https://www.cannaconnection.com/fr/blog
• https://www.lefigaro.fr/
• https://www.cbd.fr/blog/
• https://www.huffingtonpost.fr/
• https://lecannabiste.com/
• https://disboard.org/fr/server/join/1015479909054943323
• https://disboard.org/fr/server/join/443788004704649236
• https://www.newsweed.fr/
Liste des drogues illicites
En France, les substances et préparations mentionnées ci-dessous sont classées comme stupéfiants : Décret du 22 février 1990 fixant la liste des substances classées comme stupéfiants Modifié par décret le 14 octobre 2019
Annexe I
Sources
1.
1.1.A
2.1
By @Magicshroom et @France
Voir la liste complète en Annexe 1
• Le cannabis est aujourd'hui la drogue illicite la plus consommée dans le pays. Dans le graphique
suivant, nous pouvons voir l'évolution des niveaux de consommation de cannabis entre 1992 et 2021,
chez les personnes âgées de 18 à 64 ans (en %)
• La cocaïne, l'ecstasy/MDMA, les champignons, les amphétamines et l'héroïne sont
les drogues les plus populaires après le cannabis. Voir ci-dessous, l'évolution de la
consommation au fil des ans (entre 1992 et 2017) chez les personnes âgées de 18 à
64 ans (en %).
La consommation de drogues est régulièrement mesurée par diverses organisations,
telles que Santé publique France (SPF) ou l'Observatoire français des drogues et des
toxicomanies (OFDT). Ce dernier produit également des analyses sur ces usages dans
le but d'"éclairer les autorités publiques, les professionnels du secteur et le grand
public sur le phénomène des drogues et des addictions", selon service-public.fr. 22
Les drogues illicites peuvent être trouvées dans des "fours", où vous achèterez
d'abord en personne puis vous pourrez passer des commandes via les réseaux
sociaux en utilisant le code QR qui sera sur l'emballage de la drogue. Ou si un ami ou
un membre de la famille a déjà commandé, vous pouvez demander leur contact pour
passer des commandes.
1.1.B Prix des drogues illicites
Detail | Gros | |
Weed 100% THC hollandais 20-24% | 25g = 160€ | 1kg = 5200€ |
Hash 100% Morocco | 25g = 100€ | 500g = 1250€ |
Cocaine 100% Columbia | 1g = 50€ | 100g = 3000€ |
Ecstasy | 50pills = 150€ | 500pills = 1500€ |
MDMA | 3g = 100€ | 100g = 1800€ |
Mushrooms | 30g = 100€ | 1kg = 1800€ |
Xanax | 200 pillules 2mg = 110€ | 20000 pillules 2mg = 4250€ |
figure 1: Magic Mushroom prix ( sources telegram)
figure 2: Magic Mushroom hash prix ( sources telegram)
figure 3: Magic Mushroom xanax prices ( sources telegram)
figure 4: Magic Mushroom Cocaine prix ( sources telegram)
figure 5: Magic Mushroom Ecstasy prix ( sources telegram)
1.1.C Principes déterminant le statut des substances
En France, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) est l'une
des principales agences chargées de réaliser des évaluations scientifiques des risques associés aux
médicaments et aux substances. Ces évaluations portent sur différents aspects, notamment les effets
sur la santé physique et mentale, les risques de dépendance, les effets secondaires et les interactions
médicamenteuses. Les conclusions de ces évaluations sont souvent utilisées pour informer les
décisions réglementaires concernant la classification et la réglementation des substances. Cependant, il
convient de noter que l'ANSM n'est pas la seule agence ou mécanisme impliqué dans la détermination
du statut des substances en France.
En plus des évaluations menées par l'ANSM et d'autres organisations similaires, plusieurs autres
mécanismes peuvent être utilisés pour déterminer le statut des substances en France. Cela peut inclure
des considérations politiques, économiques et sociales, ainsi que la pression des groupes de défense
des consommateurs ou des groupes d'intérêt particulier. En outre, les recommandations et décisions
des organisations internationales, telles que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) pour les
substances contrôlées à l'échelle mondiale, peuvent également influencer la classification des
substances. Les Centres d'Évaluation et d'Information sur la Pharmacodépendance-Addictovigilance
(CEIP-A) jouent également un rôle crucial dans l'évaluation des risques et la surveillance de
l'utilisation des substances addictives en France.
1.4 Liste des drogues légales
• Alcool • Tabac • Analgésiques • Somnifères • Colles • Solvants
Ce sont les drogues les plus populaires en France que vous pouvez acheter légalement dans des
magasins tels que les supermarchés, les tabacs, les pharmacies et d'autres magasins de tous les jours.
Malgré leur légalité, il existe des lois et réglementations en vigueur en France qui restreignent la
consommation ou l'achat de certaines drogues légales à des jours, heures et quantités spécifiques. Par
exemple, la vente d'alcool est interdite entre 22h00 et 08h00 et dans les stations-service entre 18h00 et
08h00, conformément à la réglementation locale visant à réduire la consommation excessive d'alcool
et les troubles publics.
1.5 Listes des produits chimiques contrôlés (précurseurs de drogues)
Voir la liste complète en Annexe 2
CATEGORY 1
Product | Code CAS | Code NC | Used for | Type |
N-acetylanthranilic acid (2-acetamidobenzoic acid) and its salts | 89-52-1 | 2924 23 00 | Methaqualone Mecloqualone | Precursor |
Alpha-phenylacetoacetonitrile (APAAN) | 4468-48-8 | 2926 90 95 | Phenyl-1 propanone-2 | Precursor Classified poisonous substance |
Ephedrine and its salts | 299-42-3 | 2939 41 00 | Methamphetamines | Precursor |
Ergometrine and its salts | 60-79-7 | 2939 61 00 | LSD | Precursor |
Ergotamine and its salts | 113-15-5 | 2939 62 00 | LSD | Precursor |
Sassafras oil | 8006-80-2 | 3301 29 41 3301 29 91 | Safrole MDA; MDMA; MDEA | Precursor |
Isosafrole (cis + trans) and its salts | 120-58-1 | 2932 91 00 | MDA; MDMA; MDEA | Precursor |
3, 4-Methylenedioxy-phenylpropan-2-one and its salts (1-(1,3-Benzodioxole-5-yl) propane-2-one or 3,4-MDP-2-P or MD3.4P2 or PMK) | 4676-39-5 | 2932 92 00 | MDA; MDMA; MDEA | Precursor |
Lysergic acid and its salts | 82-58-6 | 2939 63 00 | LSD | Precursor and psychotropic |
Norephedrine and its salts (phenylpropanolamine) | 14838-15-4 | 2939 44 00 | Amphetamine | Precursor |
Phenyl-1-propanone-2 and its salts (P2P or Phenylacetone or BMK) | 103-79-7 | 2914 31 00 | Amphetamine Methamphetamine | Precursor and psychotropic |
Piperonal and its salts | 120-57-0 | 2932 93 00 | MDA; MDMA; MDEA | Precursor |
Pseudoephedrine and its salts | 90-82-4 | 2939 42 00 | Amphetamine Methamphetamine | Precursor |
Safrole and its salts | 94-59-7 | 2932 94 00 | MDA; MDMA; MDEA | Precursor |
CATEGORY 2-A
Product | Code CAS | Code NC | Used for | Type | (Register operator) Exemption if the annual threshold does not exceed: | (Register of user) Exemption if the annual threshold does not exceed: |
Acetic anhydride | 108-24-7 | 2915 24 00 | P2P Heroine Methaqualone | Précurseur | 100L | 100L |
CATEGORY 2-B
Product | Code CAS | Code NC | Used for | Type | (Register operator) Exemption if the annual threshold does not exceed: |
Anthranilic acid and its salts | 118-92-3 | 2922 43 00 | Methaqualone | Precursor | 1 Kg |
Phenylacetic acid and its salts | 103-82-2 | 2916 34 00 | Amphetamines Methamphetamines | Precursor | 1 Kg |
Potassium permanganate | 7722-64-7 | 2841 61 00 | Cocaine | Chemical product essential | 100 Kg |
Piperidine and its salts | 110-89-4 | 2933 32 00 | Phencyclidine | Precursor | 0,5 Kg |
CATEGORY 3
List of countries appearing in Annex IV, point II of Regulation (EC) No.225/2011
amending Regulation (EC) No. 1277/2005 of the Commission of July 27, 2005
Product | Code CAS | Code NC | Used for | Type | (Register operator) Exemption if the annual threshold does not exceed: |
Acetone | 67-64-1 | 2914 11 00 | Cocaine, Heroin | Chemical product essential | 50 Kg |
Hydrochloric acid (1) (Hydrogen chloride) | 7647-01-0 | 2806 10 00 | Cocaine, Heroin | Chemical product essential | 100 Kg |
Sulfuric acid (1) | 7664-93-9 | 2807 00 10 | Cocaine, Heroin | Chemical product essential | 100 Kg |
Ethyl ether (Diethyl ether or diethyl oxide) | 60-29-7 | 2909 11 00 | Cocaine, Heroin | Chemical product essential | 20 Kg |
Methyl ethyl ketone – MEK - (Butanone) | 78-93-3 | 2914 12 00 | Cocaine, Amphetamines | Chemical product essential | 50 Kg |
Toluene | 108-88-3 | 2902 30 00 | Cocaine | Chemical product essential | 50 Kg |
CATEGORY 4
Product | NC Denomination | Code NC | |
Medicines and veterinary medicines containing ephedrine or its salts | Containing ephedrine or its salts (neither presented in dose form, nor packaged for retail) | 3003 40 20 | |
^^^^ | Containing ephedrine or its salts (presented in dose form – including those intended for cutaneous administration- or packaged for retail sale) | 3004 40 20 | |
Medicines and veterinary medicines containing pseudoephedrine or its salts | Containing pseudoephedrine (INN) or its salts (neither presented in dose form, nor packaged for retail sale) | 3003 40 30 | |
| Containing pseudoephedrine (INN) or its salts (presented in dose form –y including those intended to be administered by skin- or packaged for retail sale) | 3004 40 30 |
illicites
Le cadre législatif de la France concernant le commerce et la consommation de drogues est strict et
englobe une large gamme de substances. La loi française divise les drogues en différentes catégories
en fonction de leur potentiel d'abus et de leur impact sur la santé publique. Les lois concernant le
commerce et la consommation de drogues en France sont principalement régies par le Code pénal, le
Code de la santé publique et des législations spécifiques sur les substances contrôlées.
Le transfert illicite ou l'offre de drogues à une personne pour sa consommation personnelle est punissable d'une
peine de prison de cinq ans et d'une amende de 75 000 euros.
Mais les peines de prison peuvent aller de plusieurs années à plusieurs décennies, en fonction de la gravité du crime, de la quantité et du type
de drogue impliqués, ainsi que des circonstances spécifiques de l'affaire et de l'individu condamné, qui peut également être soumis à des restrictions légales supplémentaires, telles qu'une interdiction de consommation dans certaines activités commerciales, l'accès à certaines technologies ou même la
réclusion à perpétuité et une amende pouvant atteindre 7 500 000 euros dans les cas les plus graves.
Les drogues sont classées en différentes catégories telles que les stupéfiants, les substances
psychotropes et les produits sous contrôle spécial. La possession, la vente et le trafic de drogues
illicites sont punissables par la loi, avec des peines allant de lourdes amendes à l'emprisonnement, en
fonction de la quantité et de la nature de la drogue impliquée.
La France adopte également une politique de tolérance zéro en ce qui concerne le trafic de drogue, en particulier concernant les
narcotiques tels que l'héroïne et la cocaïne.
De plus, la France a mis en place des mesures pour prévenir la consommation de drogue, notamment des programmes d'éducation et de prévention, des
traitements pour les toxicomanes et l'application de sanctions alternatives pour les utilisateurs non
violents, telles que la participation à des programmes de réadaptation. Cependant, malgré l'application
stricte des lois antidrogue, la France est confrontée à des défis persistants liés au trafic et à la
consommation de drogues, en particulier dans les zones urbaines densément peuplées.
En ce qui concerne le consommateur, qu'il s'agisse de cannabis, d'ecstasy, de cocaïne ou de toute autre substance
psychoactive illicite, la consommation constitue un crime passible d'une peine maximale d'un an de
prison et d'une amende de 3 750 €.
Depuis 2019, en vertu de l'article L.3421-1 du code de la santé
publique, l'usage illicite de stupéfiants peut donner lieu à une amende forfaitaire. Ainsi, une personne
arrêtée pour usage de drogue ou possession de petites quantités peut recevoir une amende forfaitaire
de 200 euros délivrée immédiatement par la police, le paiement de cette amende mettant fin à toute
procédure judiciaire.
• Diriger ou organiser un groupe dans le but de produire, fabriquer, importer, exporter,
transporter, détenir, offrir, transférer, acquérir ou utiliser illicitement des stupéfiants est
passible de la réclusion à perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros. (Article 222-34 du
Code pénal)
• La production ou la fabrication illicite de stupéfiants est punissable de 20 ans de réclusion à
perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros. Ces infractions sont punissables de 30 ans de
réclusion à perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises par un
groupe organisé. (Article 222-35 du Code pénal)
• L'importation ou l'exportation illicite de stupéfiants est punissable de 10 ans
d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros. Ces infractions sont punissables de 30
ans de réclusion à perpétuité et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises
par un groupe organisé. (Article 222-36 du Code pénal)
• Le transport, la possession, l'offre, le transfert, l'acquisition ou l'utilisation illicite de
stupéfiants est punissable de 10 ans d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros.
(Article 222-37 du Code pénal)
• L'offre ou le transfert illicite de stupéfiants à une personne pour sa consommation personnelle
est punissable de 5 ans d'emprisonnement et d'une amende de 75 000 euros. Cette peine est
portée à 10 ans lorsque les stupéfiants sont offerts ou transférés à des mineurs. (Article 222-39
du Code pénal)
• Le blanchiment des produits provenant du trafic de stupéfiants est punissable de 10 ans
d'emprisonnement et d'une amende de 750 000 euros. (Article 222-38 du Code pénal)
2 Caractérisation du trafic de drogue en France
2.1 Compilation d'une liste de vendeurs en ligne locaux et de leur trafic sur leurs sites Web
Certains des sites les plus populaires en France pour acheter sont : Telegram : NiceWeedMarket ( 636
abonnés ) , Jaune mousseux Frenchweed ( 2K3 abonnés ), uberweed31 ( 676 abonnés ) Snapchat :
Caliweed coffee 420, anna_emily411, weedhash4200, pablo_weed33 , goodl20233099 Whatsapp :
+33 6 05 80 49 73 Darknet: Cocorico Market ( mais il est hors service, exit scam du propriétaire )
Zamnesia: https://www.zamnesia.fr/
Philosopher Seeds: https://www.philosopherseeds.com/fr/
Shayana Shop: https://french.shayanashop.com/
Royal Queen Seeds: https://www.royalqueenseeds.fr/
2.2 Marchés populaires en France et analyse de leurs sites/web/trafic
Darknet : Cocorico Market ( mais il est hors service, exit scam du propriétaire, dans la
dernière mise à jour)
Telegram : Jaune mousseux Frenchweed ( 2,3K abonnés ), FrenchWeedChemsnotesplug ( 421 abonnés), LA FRAPPE A YODA ( 3,9K abonnés), Dzmafia ( 2633 abonnés ), Mistral38 Lyon (1,4K)
Après que de petits trafiquants de drogue augmentent leur demande, ils s'associent à des groupes de trafiquants qui établissent une petite région comme leur zone
d'activité et définissent un lieu pour que les utilisateurs achètent de la drogue en personne dans des endroits appelés « Fours » ou fours en anglais, augmentant ainsi
leur capacité à acheter et à revendre les drogues. Les drogues achetées sur place sontgénéralement accompagnées d'un code QR sur leur emballage pour encourager les utilisateurs à acheter via la livraison via Telegram ou SnapChat, évitant ainsi les foules sur place et n'attirant pas beaucoup l'attention des autorités. Près des "fours", des flèches seront trouvées dans un rayon de 500 mètres indiquant la direction à suivre jusqu'à atteindre le lieu où les drogues sont vendues, facilitant ainsi la tâche des nouveaux consommateurs pour les trouver.
Normalement, lorsque vous arrivez aux "Fours", vous trouverez des graffitis indiquant certaines informations telles que le nom de l'endroit et les horaires d'ouverture. En recherchant le nom de l'endroit sur les réseaux sociaux tels que Telegram ou SnapChat, vous trouverez le contact de l'un des commerçants ou d'un groupe où vous pouvez vous joindre et surveiller les drogues disponibles et les heures de début et de fin des activités quotidiennes.
Ces endroits sont généralement des immeubles résidentiels où vit un trafiquant de drogue et où il amène d'autres trafiquants de drogue pour s'installer. Il y a des gens violents et armés qui obligent tout le monde à rester silencieux sur les activités de l'endroit. Ces endroits sont toujours situés dans des régions plus pauvres et finissent par attirer les jeunes à travailler dans le trafic de drogue, soit en tant que livreur, soit en tant qu'observateur qui doit surveiller les rues d'accès et crier aux trafiquants de drogue s'ils voient la police. Les jeunes non accompagnés et les personnes aidées par le gouvernement avec des programmes sociaux tels que OQTF sont les principaux employés par les trafiquants car ils ne peuvent pas être 10 détenus, donc s'ils sont capturés par la police, ils seront emmenés au
commissariat, libérés peu de temps après et retourneront à leurs activités de travail. Avec les "Fours", les trafiquants ont maintenant de nouvelles possibilités de mener des campagnes de marketing, par exemple en promouvant des fêtes à thème lors de dates commémoratives telles que Halloween, Noël et
autres.2.3 Campagnes publicitaires
2.3 Campagnes publicitaires menées par les trafiquants de drogue en France
Les petits trafiquants qui débutent sur le marché utilisent des canaux de communication tels que Telegram, Instagram et établissent des contacts individuels
ou de groupe pour promouvoir leurs produits et services. Ils s'engagent souvent dans des interactions sociales dans les communautés locales, que ce soit lors de fêtes, de bars ou d'autres événements, où ils peuvent établir des contacts et gagner la confiance des consommateurs potentiels. Grâce à ces interactions en personne, les trafiquants cherchent à créer une clientèle fidèle qui leur fait confiance pour fournir
des produits de qualité et des services personnalisés. Les trafiquants utilisent également des stratégies visuelles pour différencier leurs photos et vidéos et éviter le
plagiat et accroître la reconnaissance de leurs produits auprès des consommateurs. Cela peut inclure la création de logos ou de marques uniques, l'utilisation de filtres visuels ou d'effets spéciaux, et la publication de contenu promotionnel sur des plateformes en ligne populaires telles que les réseaux sociaux, les forums de
discussion et les sites Web spécialisés. En outre, les trafiquants utilisent des tactiques de vente agressives pour attirer de nouveaux clients et fidéliser leur clientèle
existante. Cela peut inclure des promotions spéciales, des réductions de prix, des offres groupées, des cadeaux gratuits ou des échantillons, ainsi que des incitations financières telles que des rabais pour les clients fidèles ou les références de clients.
Les trafiquants cherchent également à créer un sentiment d'urgence et d'exclusivité en limitant la disponibilité de leurs produits et en utilisant des techniques de vente limitée dans le temps pour inciter les clients à acheter rapidement. Enfin, les trafiquants investissent dans des campagnes publicitaires en ligne pour promouvoir
leurs produits et services auprès d'un public plus large. Cela peut inclure des annonces payantes sur les réseaux sociaux, des bannières publicitaires sur les sites Web pertinents, des partenariats avec des influenceurs ou des personnalités en ligne, ainsi que des campagnes de marketing par e-mail ciblées. En utilisant ces stratégies, les trafiquants de drogue cherchent à augmenter leur visibilité en ligne, à générer dutrafic vers leurs sites Web ou leurs points de vente, et à stimuler les ventes en convertissant les prospects en clients payants.
2.4 Collecte de données en open source sur les sites officiels de la criminalité dans le domaine du trafic de drogue (nombre d'arrestations/saisies au cours des 3 dernières années)
Augmentation des chiffres au fil des ans
Années → Saisies de drogues ↓ | 2020 | 2021 | 2022 | 2023 |
Weed (tonnes) | 96 tonnes | 109.3 tonnes | 128.6 tonnes (87.6% resin, 41% herb) | Pas de données officielles |
Cocaine (tonnes) | 13 tonnes | 26.3 tonnes | 27.7 tonnes | Pas de données officielles |
Heroin (tonnes) | 1.1 tonnes | 1.28 tonnes | 1.4 tonnes | Pas de données officielles |
Ecstasy/MDMA (nombre de pilules) | 1.2 million of pilules | >1.4 million of pilules | >1.5 million of pilules | 4.5 million of pilules |
Amphetamines and Methamphetamines (kg) | No data | 216kg | 273kg | 418kg |
Numbre de trafiquants impliqués | 22404 | 35829 | 37510 | Pas de données officielles |
AFD ( Amendes pour les utilisateurs et les trafiquants) | No data | 106476 | 143447 | Pas de données officielles |
Opérations pour démanteler les points de vente de drogue. | 450 | 5849 | 15160 | Pas de données officielles |
En France, le nombre d'arrestations liées au trafic de drogue tend à augmenter
chaque année, et en 2020, il y avait en moyenne 41 200 arrestations, en 2021, il y
avait en moyenne 46 700 arrestations, en 2022, la moyenne était de 49 000 et en
2023, il y a eu une légère baisse, atteignant une moyenne de 48 300 arrestations pour
trafic de drogue dans tout le pays.
Les arrestations pour usage de drogue atteignent des chiffres beaucoup plus élevés,
et tendent également à augmenter, avec une moyenne de 221 300 en 2021, une
moyenne de 251 400 en 2022 et une moyenne de 260 300 arrestations pour usage de drogue en 2023 dans le pays.
Mise en avant de l'année 2022
Le bilan des saisies de drogue pour l'année 2022 a atteint des niveaux historiques.
Pour le cannabis, plus de 128,6 tonnes ont été saisies en 2022 (+15% par rapport à 2021), établissant
un record historique. Le seuil de 125 tonnes a été dépassé pour la première fois. La résine représente
68% des saisies. La teneur en THC dans la résine continue d'augmenter (30%). Pour la cocaïne, les
saisies ont augmenté de 5% pour atteindre 27,7 tonnes. En 10 ans, elles ont été multipliées par 5. 75%
des saisies sont effectuées par voie maritime. 55% des saisies proviennent des Antilles et de la
Guyane, zones de stockage et de rebond pour la cocaïne produite en Amérique du Sud. La teneur
moyenne en principe actif n'a jamais été aussi élevée (72%). Pour l'héroïne, les saisies se sont élevées
à 1,4 tonne en 2022 (+8%).
Pour les drogues synthétiques, la France est à la fois une zone de transit et
de consommation, que ce soit pour l'ecstasy/MDMA, la kétamine ou les nouveaux produits
synthétiques. La consommation de nouveaux produits synthétiques connaît donc une forte croissance,
entraînant une augmentation du trafic, comme en témoigne la saisie de 613 kg de cathinones par les
douanes à Millau en janvier 2022. La consommation de nouveaux produits synthétiques, bien que
encore relativement limitée, est en augmentation.
• Le 3-MMC, dont la consommation était jusqu'à
présent réservée à des cercles très restreints (chemsex), se répand de plus en plus parmi un public plus
large, notamment dans des environnements festifs. Le 3-MMC est un produit très addictif qui
provoque des états délirants et dépressifs, ainsi que des complications somatiques.
• Le 2-CB (cocaïne rose), composé de plusieurs substances illicites (kétamine, MDMA,
méthamphétamine), se développe en parallèle. Les saisies d'ecstasy/MDMA ont augmenté de 6% (1
543 421 comprimés saisis). Elles ont été multipliées par 10 au cours des 10 dernières années. Enfin,
273 kg d'amphétamines et de méthamphétamines ont été saisis (+21%). En 2022, à Paris, la Préfecture
de Police a saisi 657 000 comprimés d'ecstasy/MDMA (contre 99 800 en 2021).
Mobilisation dans la lutte contre la drogue
En 2022, 37 510 trafiquants de drogue ont été impliqués, contre 35 829 en 2021, soit une
augmentation de 4,7%. Pour le seul mois de janvier 2023, 4 148 trafiquants ont été impliqués (+4%
par rapport à décembre 2022). Près de 15 160 opérations de démantèlement de points de vente de
drogue ont été menées, contre 5 849 en 2021 (+159%). Plus de 2 000 opérations sont menées chaque
mois, contre 900 comptabilisées au début de 2022. Entre le 4e trimestre 2020 et le 4e trimestre 2022,
le nombre de points de vente de drogue identifiés par l'OFAST est passé de 4 034 à 3 159 (-22%).
Enfin, la lutte contre la drogue implique également la lutte contre la consommation, le nombre de
contraventions forfaitaires (AFD) délivrées est passé de 106 476 en 2021 à 143 447 en 2022 (+34%).
Depuis sa création, plus de 298 000 AFD ont été délivrées par les forces de l'ordre, dont 288 000 pour
le cannabis, 8 400 pour la cocaïne et 1 400 pour l'ecstasy/MDMA. Les 10 départements émettant le
plus d'AFD en 2022 :
Seine-Maritime 3,960
Hérault 4,058
Hauts-de-Seine 4,567
Yvelines 4,848
Seine-et-Marne 4,867
Nord 6,063
Rhône 6,114
Seine-Saint-Denis 6,391
Paris 8,982
Bouches-de-Rhône 19,718
Le nombre de personnes impliquées pour usage de drogue est passé à 249 800 en 2022, soit une
augmentation de 13% par rapport à 2021 suite à une augmentation de 38% en 2021, l'année suivant le
confinement.
Bilan du CROSS et de la plateforme de signalement
En 2022, les Cellules de Renseignement Opérationnel sur les Stupéfiants (CROSS), situées dans
chaque département, chargées de capturer et de diffuser des renseignements opérationnels sur les
stupéfiants, ont reçu 11 214 informations, dont 4 476 ont donné lieu à un rapport de renseignement
(40%). Ces rapports ont conduit à 1 491 procédures judiciaires et 103 procédures douanières (taux de
judiciarisation : 33,3%). Ces procédures ont notamment conduit à :
• 3 103 arrestations, suite auxquelles 1 092 individus ont été incarcérés ;
• le démantèlement de 376 réseaux ;
• des saisies de 16 tonnes de cannabis, 3,4 tonnes de cocaïne, 141 kg d'héroïne, 162 kg de
drogues synthétiques, 407 armes, 216 véhicules et plus de 11 millions d'euros d'avoirs criminels.
Depuis la mise en place de la plateforme de signalement sur moncommissariat.fr, 17 559 signalements
ont été déposés.
Parmi les 1 491 procédures judiciaires ouvertes en 2022, 43,7% ont été initiées ou
enrichies par le portail de signalement (soit 652).
Mise en place d'une approche sécuritaire pour les plates-formes logistiques
Les douanes, le ministère des Transports (DGITM), l'OFAST, l'autorité judiciaire, le secrétariat général
de la mer et les autorités préfectorales mettent en œuvre une approche sécuritaire pour les plates-formes logistiques françaises, notamment les terminaux à conteneurs. Cette approche vise à améliorer la protection des installations logistiques contre les infiltrations criminelles tout en renforçant la capacité de contrôle des services douaniers au sein des terminaux portuaires. À cette fin, un plan unique d'équipement des ports est en cours, visant au déploiement de scanners mobiles dans les grands ports à partir de 2024, notamment au Havre, à Marseille, à Dunkerque, à Saint-Nazaire et aux Antilles. Enfin, les douanes, en étroite collaboration avec l'OFAST et l'autorité judiciaire, luttent activementcontre l'infiltration criminelle des plates-formes logistiques. Plusieurs réseaux criminels opérant au cœur des ports, des aéroports et des centres de fret express ont été démantelés en 2022.
Indication des peines minimales et maximales pour la vente, l'achat et la possession de drogues illégales
La contravention est une sanction pénale prononcée en dehors d'un procès. La décision est prise par un
policier, un gendarme ou un agent public autorisé qui constate cette infraction (agent des douanes...).
Ainsi, si vous êtes arrêté par des policiers ou des gendarmes en train de consommer des drogues
illicites. Les drogues interdites comprennent, par exemple, le cannabis, l'ecstasy, la cocaïne, le LSD...
ou en possession de petites quantités, vous pouvez recevoir une contravention. Cette sanction consiste
à verser une somme d'argent au Trésor public.
Le montant de la contravention est de 200 euros. Le montant de la contravention réduite est de 150 euros s'il est payé dans les 15 jours. Le montant de la
contravention est porté à 450 euros s'il n'est pas payé dans les 45 jours. La production ou la fabrication
illicite de drogues est punissable de vingt ans d'emprisonnement criminel et d'une amende de 7 500 000 euros.
Ces infractions sont punissables de trente ans d'emprisonnement criminel et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises par une bande organisée. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatifs à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent
article. L'importation ou l'exportation illicites de drogues est punissable de dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros.
Ces infractions sont punissables de trente ans d'emprisonnement criminel et d'une amende de 7 500 000 euros lorsqu'elles sont commises par une bande organisée. Le transport, la détention, l'offre, la vente, l'acquisition ou l'utilisation illicite de drogues est punissable de
dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 7 500 000 euros.
Les mêmes peines s'appliquent à faciliter, par tout moyen, l'utilisation illicite de drogues, à obtenir des drogues par le biais de
prescriptions fictives ou laxistes, ou à délivrer des drogues sur présentation de telles prescriptions en
connaissant leur caractère fictif ou laxiste.
Faciliter, par tout moyen, la fausse justification de l'origine des biens ou des revenus de l'auteur de l'une des infractions mentionnées aux articles 222-34 à 222-37
ou aider à une opération de blanchiment, de dissimulation ou de conversion du produit de l'une de ces
infractions est punissable de dix ans d'emprisonnement et d'une amende de 750 000 euros.
L'amende peut être portée jusqu'à la moitié de la valeur des biens ou des fonds impliqués dans les opérations de
blanchiment.
Lorsque l'infraction concerne des biens ou des fonds provenant de l'un des crimes mentionnés aux
articles 222-34, 222-35 et 222-36, deuxième paragraphe, l'auteur est puni des peines prévues pour les
crimes dont il était conscient.
La vente ou l'offre illicite de drogues à une personne pour sa consommation personnelle est punissable
de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 75 000 euros.
La peine de prison est portée à dix ans lorsque des drogues sont offertes ou vendues, dans les
conditions définies au paragraphe précédent, à des mineurs ou dans des établissements éducatifs ou de
formation ou dans des locaux administratifs, ainsi que lors de l'entrée ou de la sortie d'élèves ou du
public ou à un moment très proche de ceux-ci, à proximité de ces établissements ou locaux.
Voici un résumé des peines encourues pour la possession et le trafic de drogues en France :
Pour la possession :
Cannabis :
• Jusqu'à 1 an de prison et une amende de 3 750 euros pour l'usage
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros pour la possession
Cocaïne, ecstasy, héroïne :
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros pour l'usage
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros pour la possession
Pour le trafic :
Cannabis :
• Jusqu'à 10 ans de prison et une amende de 7 500 000 euros
Cocaïne, ecstasy, héroïne :
• Jusqu'à la réclusion à perpétuité et une amende de 7 500 000 euros
Circonstances aggravantes (gang organisé, utilisation d'un mineur, etc.) : peines accrues
La peine dépend de la quantité de drogue, avec des seuils fixés par la loi.
Les peines peuvent être ajustées en fonction des circonstances et à la discrétion du juge. La récidive
entraîne également des sanctions plus lourdes.
2.5 Les drogues illégales populaires en France
Les drogues les plus populaires en France sont :
• Le cannabis : la drogue la plus répandue avec 17 millions de Français l'ayant consommée au moins une fois, et 1,4 million en consommant régulièrement.
• La cocaïne : environ 600 000 utilisateurs par an selon l'OFDT.
• L'ecstasy et autres drogues synthétiques : environ 500 000 utilisateurs par an selon l'OFDT.
• L'héroïne : entre 150 000 et 180 000 utilisateurs selon une étude publiée en 2013.
• Les poppers : environ 400 000 consommateurs réguliers.
• Les champignons hallucinogènes : environ 700 000 expérimentateurs en France selon une étude de 2015.
• Le LSD : environ 1,1 million de personnes l'ont essayé.
On peut observer que le cannabis domine largement le marché de la drogue en France. La cocaïne est loin derrière mais semble
se propager davantage, notamment dans les environnements festifs et dans certaines grandes villes.
2.6 Drogues légales populaires dans votre pays (quelles drogues populaires sont légales en France et où peuvent-elles être achetées légalement en ligne/hors ligne)
• Salvia divinorum, une plante dont l'utilisation induit des hallucinations intenses, ipomoea tricolor,
noix de muscade, kratom, et datura, ce dernier étant très toxique et couramment utilisé comme plante
d'intérieur ou d'extérieur pour son aspect décoratif.
• Médicaments : Les médicaments peuvent être utilisés de manière récréative, notamment les benzodiazépines
(Lexomil, Valium), utilisées pour leurs effets secondaires (intoxication, euphorie, relaxation profonde,
sensation de "mou"). Le zolpidem, un dérivé des benzodiazépines mieux connu sous le nom
d'"Ambien", est un médicament particulièrement populaire aux États-Unis, où de nombreuses vidéos
postées sur le web montrent ses effets (relaxation intense, hallucinations, euphorie, etc.).
D'autres médicaments opioïdes contenant de la codéine ou du tramadol sont également consommés de
manière récréative, notamment le tramadol, qui, en plus des effets des opioïdes, agit sur la recapture de
la sérotonine, de manière similaire à de nombreux antidépresseurs. Bien que ces médicaments
nécessitent une prescription médicale, ils sont facilement accessibles, ce qui en fait une drogue
quelque peu légale, même si leur utilisation récréative est interdite.
Le dextrométhorphane dissociatif (DXM) est légal mais nécessite une prescription médicale.
• Solvants : De nombreux solvants, tels que l'éther diéthylique, l'essence, le butane, l'oxyde nitreux, ainsi que
certains colles, aérosols ou produits de nettoyage chimiques, sont utilisés par les toxicomanes ou les
jeunes adolescents pour "planer". Les solvants sont considérés comme des "drogues sales",
extrêmement dangereux lorsqu'ils sont inhalés, car leur mode d'action, contrairement à d'autres
drogues qui agissent sur les récepteurs, est de détruire les neurones, entraînant un effet "dissociatif".
Ils peuvent être trouvés dans les magasins.
• CBD : Le cannabidiol, également connu sous le nom de CBD, est un médicament légalisé en France
et peut être trouvé dans les magasins de CBD.
3. Une caractéristique du trafic de drogue hors ligne en France.
Le trafic de drogue hors ligne en France se caractérise par une expansion rampante, où les trafiquants
prospèrent malgré les efforts des forces de l'ordre. Les saisies massives de cocaïne et de cannabis
indiquent une activité florissante, alimentée par des réseaux sophistiqués établis dans les zones
urbaines en relation avec le Maroc ou d'autres endroits comme la Guyane pour la cocaïne. Ces
organisations n'hésitent pas à recourir à la violence et à la corruption pour protéger leurs intérêts. De
plus, la diversification des produits et l'adoption de stratégies marketing modernes, telles que les
livraisons à domicile, l'amélioration des produits (vente de marchandises falsifiées, offres de cadeaux
supplémentaires), et la facilité de vente au bas des cités avec des systèmes de "Drive", par exemple, où
l'on commande directement depuis la voiture et on récupère un peu plus loin, ainsi que la promotion
sur les réseaux sociaux (Snap et Telegram) comme expliqué précédemment, démontrent l'adaptation
des trafiquants aux demandes du marché et aux progrès technologiques.
3.1 Une liste de tous les points d'attraction géographiques connus pour les consommateurs de drogue.
1. Les grandes agglomérations urbaines, notamment Paris, Marseille, Lyon et Lille, où l'on trouve de
nombreux points de vente de drogue et des zones de consommation en raison de la grande population.
2. Les zones frontalières, telles que la frontière franco-espagnole et la frontière franco-belge, qui sont
utilisées pour le trafic de drogue en provenance d'autres pays européens.
3. Les régions côtières, comme la Côte d'Azur française et la région méditerranéenne, qui servent de
points d'entrée pour les drogues en provenance d'Afrique du Nord, par exemple, Marseille.
4. Les zones rurales et les petites villes, où les trafiquants opèrent de manière plus discrète mais
toujours activement, souvent en profitant d'une moindre surveillance policière.
5. Les zones de vie nocturne, telles que les discothèques et les bars des grandes villes, où la
consommation de drogue est souvent associée à la fête et à la vie nocturne.
Marseille est la capitale de la drogue !
Histoire du trafic de drogue : Marseille a une longue histoire associée au trafic de drogue, remontant
aux années 1980 lorsque le monde souterrain corso-marseillais dominait le paysage criminel de la
ville. Depuis lors, le trafic de drogue a évolué, impliquant désormais des groupes ethniques divers,
notamment d'origine maghrébine et comorienne.
Rôle des quartiers nord : Les quartiers nord de Marseille sont souvent cités comme des points
chauds pour le trafic de drogue. Ces zones, caractérisées par le chômage, le décrochage scolaire et la
pauvreté, ont vu émerger une "économie de survie" en réponse à la marginalisation sociale.
Trafic de drogue : La France compte 3 952 points de vente de drogue.
Le résultat, à la fois spectaculaire et alarmant, confirme l'ampleur de la tâche dans la lutte contre les narcotiques que les forces de l'ordre visent à mener, des opérations internationales aux couloirs d'immeubles. Selon des chiffres que nous révélons exclusivement, la France compterait désormais 3 952 points de vente de drogue. Cette compilation sans précédent révèle l'ampleur du phénomène. En France métropolitaine, seules la Lozère et les Hautes-Alpes, selon le ministère de l'Intérieur, n'ont aucun point enregistré. Cela ne signifie pas que le cannabis ne peut pas y être trouvé, mais dans ces départements, les ventes se font plus par le bouche-à-oreille ou à la volée plutôt que dans un véritable point de vente fixe.
La Seine-Saint-Denis, le Rhône et le Nord mènent la danse en revanche, sans surprise, les grands centres urbains sont beaucoup plus affectés par la présence de
ces vendeurs de marijuana et de cocaïne. En tête de ce sombre classement se trouve la Seine-Saint-Denis, qui compterait 276 points de vente de drogue. "C'est le fléau numéro un du département", déclare un magistrat stationné dans le 93. "Cela perturbe une partie de la jeunesse attirée par l'argent facile. Certains jeunes ne peuvent même pas imaginer faire autre chose que dealer, ce qui ne peut que les conduire à la mort ou en prison." "Dans certains quartiers du département, dès qu'il y a un escalier, Il y a un point de vente", ajoute un haut fonctionnaire, qui estime que le chiffre de 276 est plutôt optimiste.
Le Rhône et le Nord complètent le podium avec plus de 250 endroits pour se procurer des narcotiques. D'autres départements d'Île-de-France figurent également bien dans la liste, avec entre 66 plans de drogue à Paris et 128 dans le Val-d'Oise. "Dans les grandes villes, la clientèle est importante, et la drogue est l'activité criminelle la plus lucrative", souligne un policier spécialisé. "Le trafic soutient de nombreuses personnes, et un point de vente de drogue peut générer
jusqu'à 50 000 euros par jour." Étonnamment, loin des grandes villes, certains départements ont une forte concentration.
C'est notamment le cas dans le Vaucluse et la Loiret, receveurs des plaques parisiennes et marseillaises, où il y aurait respectivement 15 et 10 points de vente de drogue pour 100 000 habitants. Outre-mer, la Guadeloupe et la Martinique sont également touchées, avec 129 et 50 points de vente pour un peu plus
de 350 000 habitants respectivement. Sur les cartes ci-dessous, nous voyons toutes les régions affectées par les crimes liés au trafic de
drogue et à la consommation en France en 2019, lorsque les chiffres ont été publiés pour la dernière fois. En surveillant les actualités liées au sujet, il est possible de constater que les régions indiquées sur la carte avaient tendance à maintenir les mêmes chiffres et, dans certaines régions, il y a une tendance
à la hausse depuis la dernière publication publique.
En particulier, il y a eu une forte augmentation du trafic de drogue dans certaines régions, ce qui a incité le gouvernement à investir davantage d'efforts dans la lutte contre le trafic de drogue dans ces endroits. La carte ci-dessous montre les principaux sites connus pour le trafic de drogue en France.
4. Une liste complète de sites web thématiques, de groupes Telegram ou de chaînes, et de communautés sur Discord ou d'autres réseaux sociaux couvrant les actualités liées à l'usage de drogues et au trafic de drogues en France.
Site Web :
- https://www.ouest-france.fr/societe/drogue/
- https://fr.statista.com/themes/3187/les-drogues-en-france/#topicOverview
- https://lecannabiste.com/
- https://www.zamnesia.fr/
- https://french.shayanashop.com/Champignons_Magiques-14-hc/ls-Champignons_Magiques-1024.aspx
- https://sensiseeds.com/fr
- https://www.magic-mushrooms-shop.com/fr/champignons-magique.html
- https://www.zativo.fr/
- https://disboard.org/fr/server/1049529991731359844
- https://disboard.org/fr/server/692042296098816030
- https://disboard.org/fr/server/863454218500046908
- https://disboard.org/fr/server/1059357298725769236
- https://disboard.org/fr/server/1015479909054943323
- https://disboard.org/fr/server/804833104023912498
- Jaune mousseux Frenchweed ( 2K3 abonnés )
- FrenchWeedChemsnotesplug ( 421 abonnés)
- LA FRAPPE A YODA ( 3.9K abonnés)
- Dzmafia ( 2633 abonnés )
- Mistral38 Lyon (1,4K)
- Caliweed coffee 420
- anna_emily411
- weedhash4200
- pablo_weed33
- goodl20233099
5. Une liste des moyens anonymes les plus connus pour acheter des cryptomonnaies dans votre pays. Une liste des systèmes de paiement populaires utilisés par les fraudeurs et les trafiquants de drogue. Estimation générale de l'utilisation des cryptomonnaies pour l'achat de drogues.
Acheter des cryptomonnaies anonymement en France peut être difficile en raison des réglementations actuelles strictes qui exigent que les utilisateurs s'identifient. Cependant, il est toujours possible d'acheter des cryptomonnaies en ligne de manière relativement anonyme via les plateformes suivantes qui ne nécessitent actuellement pas de KYC pour initier des transactions :
• https://hodlhodl.com/
• https://paxful.com/fr
• https://localcoinswap.com/
• https://learn.robosats.com/
Une autre option est d'utiliser des distributeurs automatiques de cryptomonnaies. Ces guichets permettent souvent d'acheter des cryptomonnaies en espèces sans avoir besoin de fournird'informations personnelles. Il est possible de localiser tous les distributeurs automatiques en France via ce site web :
• https://coinatmradar.com/country/73/bitcoin-atm-france/
Autres exemples couramment utilisés par les vendeurs sur Whatsapp :
- Exodus,
- Moonpay (eth & btc),
- RECHARGE.fr (PCS & NEOSURF),
- Bitnovo,
- bridge wallet,
- Trust wallet
- Neosurf tickets
6. La présence de services de livraison de drogues illégales à domicile en France.
Comptes Telegram
• LA FRAPPE A YODA
• DZ MAFIA
• Uber Weed31
• Jaune Mousseux Frenchweed | Parisweed
• WeedLyon
• MarseilleWeedSupply
• NiceWeedMarket
7. Décrivez le portrait d'un consommateur de drogue moyen et d'un trafiquant de drogue moyen.
Trafiquants:
Age | 74% ont moins de 30 ans |
Nationalité | 85% de nationalité française, la deuxième nationalité la plus représentée est algérienne |
Sexe | 90% D'hommes |
Social group | Précaire |
Ethnicité | Noir et arabe |
Lieu de residence | Marseille / Paris / Toulouse / Nice |
Profession | Chômage, travailleur indépendant ou freelance, petites entreprises ou commerces, emplois dans le secteur du transport, emplois dans le secteur de la vie nocturne. |
Consommateurs:
Age | 18 - 34 |
Nationalité | 90% de nationalité française |
Sexe | 92%d'hommes pour le cannabis 73% d'hommes pour la cocaïne |
Social group | Toute |
Ethnicité | Toute |
Lieu de residence | Partout |
Profession | Tout, mais principalement dans les secteurs de l'art, de la vie nocturne et de la restauration. |
figure 9: consommation de la drogue par Age
8. Magasins de réactifs chimiques et d'équipements
https://www.servilab.fr/panier
https://www.labomoderne.com/
https://jeulin.com/lelaborantin_fr/
https://www.nadal-alcools.com/produit/bouteille-d-1-litre-dalcool-90-pour-fruits/
https://www.amazon.fr/éthanol/s?k=éthanol
https://www.labs24.net/
https://www.mon-droguiste.com/produit-chimique/liquide
https://www.arcane-direct.com/fr/23-degraissant-par-aspersion
https://chemical.center/fr/les-bases/7-lessive-de-soude-305
9. Actualités sur les drogues
Parmi les jeunes Français, il y a un grand intérêt à connaître l'évolution des lois concernant la flexibilité de la consommation, notamment en ce qui concerne la marijuana. Certains des portails utilisés pour rester informés sont :
• https://discord.gg/sQw7pjW2BK
• https://www.royalqueenseeds.fr/blog
• https://www.zamnesia.fr/blog
• https://www.growbarato.net/blog/
• https://www.sciencesetavenir.fr/
• https://www.cannaconnection.com/fr/blog
• https://www.lefigaro.fr/
• https://www.cbd.fr/blog/
• https://www.huffingtonpost.fr/
• https://lecannabiste.com/
• https://disboard.org/fr/server/join/1015479909054943323
• https://disboard.org/fr/server/join/443788004704649236
• https://www.newsweed.fr/
Liste des drogues illicites
En France, les substances et préparations mentionnées ci-dessous sont classées comme stupéfiants : Décret du 22 février 1990 fixant la liste des substances classées comme stupéfiants Modifié par décret le 14 octobre 2019
Annexe I
Cette annexe comprend :
- - les substances ci-après désignées ;
- leurs isomères, sauf exception expresse, dans tous les cas où ils peuvent exister, conformément à la formule
chimique correspondante desdites substances ;
- les esters et éthers desdites substances ou isomères à moins qu'ils ne soient inscrits à une autre annexe, dans tous
les cas où ils peuvent exister ;
- les sels desdites substances, de leurs isomères, de leurs esters et éthers dans tous les cas où ils peuvent exister ;
- les préparations renfermant les produits ci-dessus mentionnés à l'exception de celles nommément désignées ci-dessous ;
Acétorphine
Acétylalphaméthylfentanyl
acétylfentanyl et MT-45 ou 1-cyclohexyl-4-(1,2-diphényléthyl) pipérazine
Acétylméthadol
"AH-7921" ou "3,4-dichloro-N-[[1-(diméthylamino) cyclohéxyl] méthyl] benzamide"
Alfentanil
Allylprodine
Alphacétylméthadol
Alphaméprodine
Alphaméthadol
Alphaméthylfentanyl
Alphaprodine
Aniléridine
Benzéthidine
Benzylmorphine
Béta-hydroxyfentanyl
Béta-hydroxy-méthyl-3-fentanyl
Bétacétylméthadol
Bétaméprodine
Bétaméthadol
Bétaprodine
Bezitramide
Butyrate de dioxaphétyl
Butyrfentanyl ou Butyrylfentanyl ou N-Phényl-N-[1-(2-phenylethyl)-4-pipéridinyl] butanamide
Cannabis et résine de cannabis
Cétobémidone
Clonitazène
Coca, feuille de
Cocaïne
Codoxime
Concentré de paille de pavot ou matière obtenue lorsque la paille de pavot a subi un traitement en vue de la
concentration de ses alcaloïdes (capsules, tiges)
Désomorphine
Dextromoramide
Diampromide
Diéthylthiambutène
Difénoxine
Dihydroétorphine (13)
Dihydromorphine
Diménoxadol
Dimépheptanol
Diméthylthiambutène
Diphénoxylate, à l'exception des préparations orales en renfermant par dose unitaire, une quantité maximale de 2,5 mg
calculés en base en association avec une quantité d'au moins 0,025 mg de sulfate d'atropine
Dipipanone
Drotébanol
Ecgonine, ses esters et ses dérivés transformables en ecgonine et cocaïne
Ethylméthylthiambutène
Etonitazène
Etorphine
Etoxéridine
Fentanyl
Furéthidine
Héroïne
Hydrocodone
Hydromorphinol
Hydromorphone
Hydroxypéthidine
Isométhadone
Lévométhorphane, à l'exception de son isomère dextrogyre ou dextrométhorphane
Lévomoramide
Lévophénacylmorphane
Lévorphanol, à l'exception de son isomère dextrogyre ou dextrorphane
Métazocine
Méthadone et son intermédiaire ou cyano-4 diméthylamino-2 diphényl-4,4 butane
Méthyldésorphine
Méthyldihydromorphine
Méthyl-3-thiofentanyl
Méthyl-3-fentanyl
Métopon
Moramide (intermédiaire du) ou acide méthyl-2 morpholino-3 diphényl-1,1 propane carboxylique
Morphéridine
Morphine (y compris les préparations d'opium en renfermant plus de 20 p. 100 exprimé en base anhydre et les dérivés
morphiniques à azote pentavalent tel méthobromure, N-oxymorphine, N-oxycodéine), à l'exception des éthers
nommément mentionnés à l'annexe II et des préparations relevant d'un autre classement
MPPP ou propionate de méthyl-1 phényl-4 pipéridinyle-4
Myrophine
Nicomorphine
Noracyméthadol
Norlévorphanol
Norméthadone
Normorphine
Norpipanone
Opium (y compris les préparations d'opium et de papaver somniferum renfermant jusqu'à 20 p. 100 de morphine calculée
en base anhydre, à l'exception des préparations relevant d'un autre classement)
Oripavine
Oxycodone
Oxymorphone
Para-fluorofentanyl
PEPAP ou acétate de phénéthyl-1 phényl-4 pipéridinyle-4
Péthidine et ses intermédiaires A (cyano-4 méthyl-1 phényl-4 pipéridine) B (ester éthylique de l'acide phényl-4 pipéridine
carboxylique-4) et C (acide méthyl-1 phényl-4 pipéridine carboxylique-4)
Phénadoxone
Phénampromide
Phénazocine
Phénomorphane
Phénopéridine
Piminodine
Piritramide
Proheptazine
Propéridine
Racéméthorphane
Racémorphane
Rémifentanil, ses isomères, ses esters, éthers et sels dans tous les cas où ils peuvent exister
Sufentanil
Thébacone
Thébaïne
Thiofentanyl
Tilidine
Trimépéridine
U-47700 ou 3,4-dichloro-N-[2-(dimethylamino) cyclohexyl]-N-methylbenzamide
-acryl (oyl) fentanyl
-carfentanil ou carfentanyl
-Furanylfentanyl ou N-phenyl-N-[1-(2-phenylethyl) piperidin-4-yl] furan-2-carboxamideocfentanil ou ocfentanyl ;
-para-fluoroisobutyr (yl) fentanyl ou pFIBF ou 4-fluoroisobutyr (yl) fentanyl ou 4 FIBF ;
-tetrahydrofuranylfentanyl ou THF-F ;
-Methoxyacetylfentanyl ou 2-methoxy-N-phenyl-N-[1-(2-phenylethyl) piperidin-4-yl] acetamide,
-Cyclopropylfentanyl ou (d) N-phenyl-N-[1-(2-phenylethyl) piperidin-4-yl] cyclopropanecarboxamide,
-Parafluorobutyrylfentanyl,
-Orthofluorofentanyl
Versions - Annexe II
Cette annexe comprend :
- les substances ci-après désignées ;
- leurs isomères, sauf exception expresse, dans tous les cas où ils peuvent exister, conformément à la formule chimique correspondante desdites substances ;
- les sels desdites substances et de leurs isomères dans tous les cas où ils peuvent exister ;
- leurs préparations nommément désignées ci-dessous ;
Acétyldihydrocodéine
Codéine
Dextropropoxyphène et ses préparations injectables
Dihydrocodéine
Ethylmorphine
Nicocodine
Nicodicodine
Norcodéine
Pholcodine
Versions - Annexe III
Modifié par Arrêté du 14 octobre 2019 - art. 2
Cette annexe comprend :
- les substances ci-après désignées ;
- leurs stéréo-isomères, dans tous les cas où ils peuvent exister conformément à la désignation chimique spécifiée, pour les substances précédées d'un astérisque ;
- leurs sels dans tous les cas où ils peuvent exister ;
- les préparations de ces substances, à l'exception de celle nommément désignées ci-dessous ;
-AB-CHMINACA ou N-[(2S)-1-amino-3-methyl-1-oxobutan-2-yl]-1-(cyclohexylmethyl) indazole-3-carboxamide ;
-AB-PINACA ou N-[(1S)-1-(aminocarbonyl)-2-methylpropyl]-1-pentyl-1H-indazole-3-carboxamide ;
-ADB-CHMINACA ou MAB-CHMINACA ou N-(1-amino-3,3-dimethyl-1-oxobutan-2-yl)-1-(cyclohexylmethyl)-1H-indazole-3-carboxamide ;
-5F-ADB ou 5F-MDMB-PINACA ou methyl (S)-2-[1-(5-fluoropentyl)-1H-indazole-3-carboxamido]-3,3-dimethylbutanoate ;
-ADB-FUBINACA ou N-(1-Amino-3,3-dimethyl-1-oxobutan-2-yl)-1-(4-fluorobenzyl)-1H-indazole-3-carboxamide ;
2-CB ou 4-bromo-2,5 diméthoxyphénéthylamine
4-MEC ou 4-méthylethcathinone ou 2-éthylamino-1-(4-méthylphényl)-1-propanone
4-MTA ou ∀-méthyl-4-méthylthiophénéthylamine
4,4'-DMAR ou 4,4'-diméthylaminorex ou para-méthyl-4-méthylaminorex, 4,5-dihydro-4-méthyl-5-(4-méthylphényl)-2-oxazolamine
5F-APINACA ou 5F-AKB-48 ou N-(adamantan-1-yl)-1-(5-fluoropentyl)-1H-indazole-3-carboxamide)
α-PVP ou alpha-pyrrolidinovalérophénone ou 1-phényl-2-(1-pyrrolidinyl)-1-pentanone , méthoxétamine
Amphétamine, à l'exception de la préparation présentée en comprimés et renfermant par comprimé : sulfate d'amphétamine
0,005 g, phénobarbital 0,100 g
Amineptine
Benzphétamine, à l'exception de ses préparations autres qu'injectables
*Brolamfétamine
*Cathinone
-CUMYL-4CN-BINACA ou 1-(4-cyanobutyl)-N-(2-phenylpropan-2-yl)-1H-indazole-3-carboxamide ;
*DET ou N,N-diéthyltryptamine
Dexamfétamine
*DMA ou dl-diméthoxy-2,5 -méthylphényléthylamine
*DMHP ou hydroxy-1 (diméthyl-1,2 heptyl)-3 tétrahydro-7,8,9,10 triméthyl-6,6,9 6H-dibenzo(b,d) pyranne
*DMT ou N,N-diméthyltryptamine
*DOET ou dl-diméthoxy-2,5 éthyl-4-méthylphényléthylamine
Ethylone ou bk-MDEA ou 3,4-methylenedioxy-N-ethylcathinone (MDEC) ou 2-éthylamino-1-(3,4-méthylènedioxyphényl) propan-1-one
Ethylphénidate ou EPH
*Eticyclidine ou PCE
Etilamfétamine
*Etryptamine
Fénétylline
-4-Fluoroamphétamine ou 4-FA ;
-FUB-AMB (MMB-FUBINACA, AMB-FUBINACA) ou methyl (2S)-2-{ [1-[(4-fluorophenyl) methyl] indazole-3-carbonyl] amino }-3-methylbutanoate ;
GHB ou acide gamma-hydroxybutyrique, à l'exception des préparations injectables
Levamfétamine
Lévométhamphétamine
*Lysergide ou LSD-25
*MDMA ou dl N, -diméthyl (méthylènedioxy)-3,4 phényléthylamine
MDMB-CHMICA ou MMB-CHMINACA ou methyl (2S)-2-{ [1-(cyclohexylmethyl)-1H-indol-3-yl] formamido }-3,3-dimethylbutanoate
Mécloqualone
*Mescaline
*MMDA ou méthoxy-2 -méthyl (méthylènedioxy)-4,5 phényléthylamine
Méfénorex et ses sels, à l'exception des préparations autres qu'injectables
Méthamphétamine et son racémate
Méthaqualone
Méthiopropamine ou MPA ou 1-(alpha-thiényl)-2-méthylaminopropane
Méthylphénidate
*Méthyl-4 aminorex
*N-hydroxyténamfétamine
*N-éthylténamphétamine (MDEA)
-N-ETHYLNORPENTYLONE (Ephylone)
*Parahexyl
-5F-PB-22 ou 5F-QUPIC ou 1-pentyfluoro-1H-indole-3-carboxylic acid 8-quinolinyl ester ;
Pentazocine
Pentédrone ou alpha-méthylamino-valérophénone ou 2-(méthylamino)-1-phényl-1-pentan-1-one
Phencyclidine
Phendimétrazine
Phenmétrazine
Phentermine ou α, α-diméthylphénétylamine
*PMA ou p-méthoxy -méthylphényléthylamine
PMMA ou para-méthoxyméthamphétamine ou para-méthoxyméthylamphétamine
*Psilocine
*Psilocybine
*Rolicyclidine ou PHP ou PCPY
Sécobarbital
*STP ou DOM ou amino-2(diméthoxy-2,5 méthyl-4)phényl-1 propane
*Tenamfétamine ou MDA
*Ténocyclidine ou TCP
*TMA ou dl-triméthoxy-3,4,5 -méthylphényléthylamine
-UR-144 ou (1-pentylindol-3-yl)-(2,2,3,3-tetramethylcyclopropyl) methanone ;
XLR-11 ou 5F-UR-144 ou (1-(5-fluoropentyl)-1H-indol-3-yl) (2,2,3,3-tetramethylcyclopropyl) methanone
Zipéprol
25B-NBOMe ou 2C-B-NBOMe ou 2-(4-bromo-2,5-diméthoxyphényl)-N-(2-méthoxybenzyl)éthanamine ou 4-Bromo-2,5-diméthoxy-N-(2-méthoxybenzyl)phénéthylamine
25C-NBOMe ou 2C-C-NBOMe ou 2-(4-chloro-2,5-diméthoxyphényl)-N-(2-methoxybenzyl)éthanamine ou 4-Chloro-2,5-diméthoxy-N-(2-méthoxybenzyl)phénéthylamine
25I-NBOMe ou 2C-I-NBOMe ou 4-iodo-2,5-diméthoxy-N-(2-méthoxybenzyl)phénéthylamine
Versions - Annexe IV
Modifié par Arrêté du 18 mai 2021 - art. 1
Modifié par Arrêté du 20 mai 2021 - art. 1 (V)
Cette annexe comprend les produits ci-après désignés ainsi que leurs préparations à l'exception de celles nommément désignées ci-dessous :
2-CI
2-CT-2 ou 2,5-diméthoxy-4-éthylthiophényléthylamine
2-CT-7 ou 2,5-diméthoxy-4--propyl-thiophényléthylamine
Acide lysergique, ses dérivés halogènés, et leurs sels
Amfépentorex et ses sels, à l'exception de leurs préparations autres qu'injectables
Ayahusca Banisteteriopis caapi, Peganum harmala, Psychotria viridis, Diplopterys cabrerana, Mimosa hostilis,
Banisteriopsis rusbyana, harmine, harmaline, tétrahydroharmine (THH), harmol, harmalol,
Béta hydroxy alpha, béta-diphényléthylamine, ses isomères, esters, éthers et leurs sels
BZP ou benzylpipérazine
Les cannabinoïdes suivants, ainsi que leurs isomères, stéréo-isomères, esters, éthers et sels :
-5F-AB-FUPPYCA (ou AZ-037) ou N-(1-amino-3-methyl-1-oxobutan-2-yl)-1-(5-fluoropentyl)-5-(4-fluorophenyl)-1H-pyrazole-3-carboxamide ;
-A-836,339 ou N-[3-(2-methoxyethyl)-4,5-dimethyl-1,3-thiazol-2-ylidene]-2,2,3,3-tetramethylcyclopropane-1-carboxamide ;
-AB-CHFUPYCA (ou AB-CHMFUPPYCA) ou N-[3-(2-methoxyethyl)-4,5-dimethyl-1,3-thiazol-2-ylidene]-2,2,3,3-tetramethylcyclopropane-1-carboxamide ;
-ADSB-FUB-187 ou 7-chloro-N-[(2S)-1-[2-(cyclopropylsulfonylamino) ethylamino]-3,3-dimethyl-1-oxobutan-2-yl]-1-[(4-fluorophenyl) methyl] indazole-3-carboxamide ;
-CB-13 (ou CRA-13 ou SAB-378) ou naphthalen-1-yl-(4-pentyloxynaphthalen-1-yl) methanone ;
-EG-018 naphthalen-1-yl (9-pentyl-9H-carbazol-3-yl) methanone ;
-HU-210 ou (6aR, 10aR)-9-(hydroxyméthyl)-6,6-diméthyl-3-(2-méthyloctan-2-yl)-6a, 7,10, 10a-tétrahydrobenzo [c] chromen-1-ol ;
-HU-243 ou (6aR, 9R, 10aR)-9-(hydroxyméthyl)-6,6-diméthyl-3-(2-méthyloctan-2-yl)-6a, 7,8,9,10, 10a-hexahydrobenzo [c] chromen-1-ol ;
-FUBIMINA (ou BIM-2201 ou BZ-2201 ou FTHJ) ou 1-(5-fluoropentyl)-1H-benzo [d] imidazol-2-yl) (naphthalen-1-yl) methanone ;
-JTE-7-31 ou 2-[2-(4-hydroxyphenyl) ethyl]-5-methoxy-4-(pentylamino)-2,3-dihydro-1H-isoindol-1-one ;
-WIN 55,212-2 ou (R)-(+)-[2,3-Dihydro-5-methyl-3-(4-morpholinylmethyl) pyrrolo [1,2,3-de]-1,4-benzoxazin-6-yl]-1-napthalenylmethanone.
Ainsi que toute molécule appartenant à la famille des :
-Indol-3-yl methanone
-avec un substitut sur l'azote du noyau indole de type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-avec un groupement (par ailleurs substitué ou non), sur le carbone du pont méthanone de type naphtyl, benzyl, phényl, cyclopropyl, adamantyl.
Notamment :
JWH-007 ou 1-pentyl-2-méthyl-3-(1-naphthoyl) indole ;
JWH-015 ou (2-méthyl-1-propylindol-3-yl)-naphthalen-1-ylméthanone ou 1-propyl-2-méthyl-3-(1-naphthoyl) indole ;
JWH-018 ou 1-pentyl-3-(1-naphthoyl) indole ou 2- naphthalènyl (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- méthanone ;
JWH-019 ou (1-hexyl-1H-indol-3-yl)-1-naphthalènylméthanone ou 1-hexyl-3-(1-naphthoyl) indole ;
JWH-073 ou (1-butyl-1H-indol-3-yl) (naphthalen-1-yl) méthanone ou 1-butyl-3-(1-napthoyl) indole ;
JWH-081 ou (4-méthoxynaphthalen-1-yl) (1-pentyl-1H-indol-3-yl) méthanone ou 1-pentyl-3-(4-méthoxy-1-naphthoyl) indole ;
JWH-122 ou (4- méthyl- 1- naphthalènyl) (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- méthanone ou 1-pentyl-3-(4-méthyl-1-naphthoyl) indole ;
JWH-182 ou (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl) (4- propyl- 1- naphthalènyl)- méthanone ;
JWH-200 ou [1- [2- (4- morpholinyl) ethyl]- 1H- indol- 3- yl]- 1- naphthalènyl- méthanone ou 1-[2-(4-morpholinyl) éthyl]-3-(1-naphthoyl) indole ;
JWH-203 ou 1-pentyl-3-(2-chlorophenylacetyl) indole ;
JWH-210 ou (4- éthyl- 1- naphthalènyl) (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- méthanone ou 1-pentyl-3-(4-ethyl-1-naphthoyl) indole ;
JWH-387 ou (4- bromo- 1- naphthalènyl) (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- méthanone ;
JWH-398 ou 1-pentyl-3-(4-chloro-1-naphthoyl) indole ;
JWH-412 ou (4- fluoro- 1- naphthalènyl) (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- méthanone ;
AM-2201 ou (1- (5- fluoropentyl)- 1H- benzo [d] imidazol- 2- yl) (naphthalen- 1- yl) méthanone ou 1-(5-fluoropentyl)-3-(1-naphthoyl) indole ;
MAM-2201 ou [1-(5-fluoropentyl)-1H-indol-3-yl]-1-naphthalènyl-méthanone ;
FUB-JWH-018 ou (1-(4-fluorobenzyl)-1H-indol-3-yl) (naphtalen-1-yl) méthanone ;
JWH-167 ou 1- (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- 2- phényl- éthanone ;
JWH-201 ou 2-(4-méthoxyphényl)-1-(1-pentylindol-3-yl) éthanone ;
JWH-250 ou 1-pentyl-3-(2-méthoxyphénylacétyl) indole ou 1- (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- 2- (2- méthoxyphényl)- éthanone ;
JWH-251 ou 1-pentyl-3-(2-méthylphenylacétyl) indole ou 2- (2- méthylphényl)- 1- (1- pentyl- 1H- indol- 3- yl)- éthanone ;
RCS-4 ou 1-pentyl-3-(4-méthoxybenzoyl) indole ;
AM-694 ou 1-(5-fluoropentyl)-3-(2-iodobenzoyl) indole ou [1- (5- fluoropentyl)- 1H- indol- 3- yl] (2- iodophenyl)- méthanone ;
AM-679 ou (2-iodophenyl) (1-pentyl- 1H-indol-3- yl)- méthanone ;
AM-2233 ou (2- iodophenyl) [1- (1-méthyl- 2-piperidinyl) méthyl]-1H-indol- 3-yl]-méthanone ;
5Cl-UR-144 ou [1-(5-chloropentyl)-1H-indol-3-yl] (2,2,3,3-tetramethylcyclopropyl) methanone ;
AB-005 ou [1-[(1-methyl-2-piperidinyl) methyl]-1H-indol-3-yl] (2,2,3,3-tetramethylcyclopropyl)-methanone ;
A-834,735 ou { 1-[(tetrahydro-2H-pyran-4-yl) methyl]-1H-indol-3-yl }-(2,2,3,3-tetramethylcyclopropyl) methanone ;
AB-001 ou (1-pentyl-3-(adamant-1-oyl) indole) ;
AM-1220 ou (1-((1-methyl-2-piperidinyl) methyl)-1H-indol-3-yl)-1-naphthalenylmethanone ;
AM-1248 ou (1-[(N-methylpiperidin-2-yl) methyl]-3-(adamant-1-oyl) indole).
-Indazol-3-yl methanone
-avec un substitut sur l'azote en position 1 du noyau indazole de type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-avec un groupement (par ailleurs substitué ou non), sur le carbone du pont méthanone de type naphtyl, benzyl, phényl, cyclopropyl, adamantyl.
Notamment :
THJ-018 ou 1-naphthalenyl (1-pentyl-1H-indazol-3-yl)-methanone ;
THJ-2201 ou [1-(5-Fluoropentyl)-1H-indazol-3-yl] (1-naphthyl) methanone.
-Naphthoylpyrroles ou dérivés du pyrrole-3-yl (1-naphtyl) methanone
-avec un substitut sur l'azote du noyau pyrrole type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau pyrrole soit par ailleurs substitué ou non ;
-que le noyau naphthyl soit par ailleurs substitué ou non.
Notamment :
JWH-030 ou 1-naphthalenyl (1-pentyl-1H-pyrrol-3-yl)-methanone ;
JWH-145 ou 1-naphthalenyl (1-pentyl-5-phenyl-1H-pyrrol-3-yl)-methanone ;
JWH-146 ou (1-heptyl-5-phenyl-1H-pyrrol-3-yl)-1-naphthalenyl-methanone ;
JWH-147 ou (1-hexyl-5-phenyl-1H-pyrrol-3-yl)-1-naphthalenyl-methanone ;
JWH-307 ou (5-(2-fluorophenyl)-1-pentylpyrrol-3-yl)-naphthalen-1-yl-methanone ;
JWH-368 ou [5- (3- fluorophenyl)- 1- pentyl- 1H- pyrrol- 3- yl]- 1- naphthalenyl- methanone ;
JWH-370 ou [5-(2-methylphenyl)-1-pentyl-1H-pyrrol-3-yl]-1-naphthalenyl-methanone.
-Naphthylméthylindoles ou dérivés du indol-3-yl-(1-naphthyl) méthane
-avec un substitut sur l'azote du noyau indole type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkènyl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau indole soit par ailleurs substitué ou non ;
-que le noyau naphthyl soit par ailleurs substitué ou non.
Notamment :
JWH-175 ou 3- (1- naphthalènylméthyl)- 1- pentyl- 1H- indole ou 1-pentyl-1H-indol-3-yl-(1-naphthyl) méthane ;
JWH-184 ou 3-[(4-méthyl-1-naphthalènyl) méthyl]-1-pentyl-1H-indole ou 1-pentyl-1H-3-yl-(4-méthyl-1-naphthyl) méthane ;
JWH-185 ou 3-[(4-méthoxy-1-naphthalènyl) méthyl]-1-pentyl-1H-indole.
-Naphthylidèneindènes et Naphthylméthylindènes ou dérivés du 1-(1-naphthylméthylene) indène et dérivés du 1-(1-naphthylméthyl) indène
-avec un substitut en position 3 du noyau indène type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, methyl-oxane, cycloalkyléthyl, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau indène soit par ailleurs substitué ou non ;
-que le noyau naphthyl soit par ailleurs substitué ou non.
Notamment :
JWH-176 ou 1-([(1E)-3-pentylinden-1-ylidine] methyl) naphthalene.
-Cyclohexylphénols ou dérivés du 2-(3-hydroxycyclohexyl) phénol
-avec un substitut en position 5 du noyau phénol type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau cyclohexyl soit par ailleurs substitué ou non.
Notamment :
CP 55,940 ou 5-(1,1-diméthylheptyl)-2-[(1R, 2R)-5-hydroxy-2-(3-hydroxypropyl) cyclohexyl]-phénol ou 2- ((1S, 2S, 5S)- 5- hydroxy- 2- (3- hydroxypropyl) cyclohexyl)- 5- (2- méthyloctan- 2- yl) phénol ;
CP 47,497 ou (5-(1,1-diméthylheptyl)-2-[(1R, 3S)-3-hydroxycyclohexyl]-phénol ;
CP 47,497-C6 ou (5-(1,1-diméthylhexyl)-2-[(1R, 3S)-3-hydroxycyclohexyl]-phénol ;
CP 47,497-C8 ou (5-(1,1-diméthyloctyl)-2-[(1R, 3S)-3-hydroxycyclohexyl]-phénol ;
CP 47,497-C9 ou (5-(1,1-diméthylnonyl)-2-[(1R, 3S)-3-hydroxycyclohexyl]-phénol.
-Dérivés du 3-carboxylate indole
-avec un substitut sur l'azote du noyau indole type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau indole soit par ailleurs substitué ou non ;
-avec un groupement (par ailleurs substitué ou non), sur l'oxygène du pont carboxylate de type 8-quinolinyl ou 1-naphtalenyl.
Notamment :
PB-22 ou QUPIC ou 1-pentyl-1H-indole-3-carboxylic acid 8-quinolinyl ester ;
BB-22 ou QUCHIC ou 1-(cyclohexylmethyl)-1H-indole-3-carboxylic acid 8-quinolinyl ester ;
FUB-PB-22 ou quinolin-8-yl 1-[(4-fluorophenyl) methyl]-1H-indole-3-carboxylate) ;
FDU-PB-22 ou naphthalen-1-yl 1-[(4-fluorophenyl) methyl]-1H-indole-3-carboxylate ;
NM-2201 ou CBL-2201 ou naphthalen-1-yl 1-(5-fluoropentyl)-1H-indole-3-carboxylate.
-Dérivés du 3-carboxylate indazole
-avec un substitut sur l'azote en position 1 du noyau indazole type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau indazole soit par ailleurs substitué ou non ;
-avec un groupement (par ailleurs substitué ou non), sur l'oxygène du pont carboxylate de type 8-quinolinyl ou 1-naphtalenyl.
Notamment :
NPB-22 ou 1-pentyl-1H-indazole-3-carboxylic acid, 8-quinolinyl ester ;
5F-NPB-22 ou 1-(5-fluoropentyl)-8-quinolinyl ester-1H-indazole-3-carboxylic acid ;
FUB-NPB-22 ou quinolin-8-yl 1-(4-fluorobenzyl)-1H-indazole-3-carboxylate ;
SDB-005 ou naphthalen-1-yl 1-pentyl-1H-indazole-3-carboxylate ;
5F-SDB-005 ou 1-(5-Fluoro-pentyl)-1H-indazole-3-carboxylic acid naphthalen-1-yl ester.
-Dérivés du 3-carboxamide indole
-avec un substitut sur l'azote du noyau indole type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau indole soit par ailleurs substitué ou non ;
-avec l'azote du pont carboxamide intégré dans un cycle ou portant un substitut de type cumyl, naphtyl, adamantanyl, benzyl, bicyclo [2.2.1] heptanyl, ou portant un groupement de type 1-alkoxy-1-oxo-butan-2-yl, 1-amino-1-oxo-butan-2-yl, que ce groupement soit lui-même substitué ou non en position 3 par un ou deux substituts de type alkyl, cycloalkyl ou phenyl.
Notamment :
CUMYL-BICA ou 5F-CUMYL-PINACA ou SGT-25 ou 1-(5-fluoropentyl)-N-(1-methyl-1-phenylethyl)-1H-indazole-3-carboxamide) ;
CUMYL-PICA ou 1-pentyl-N-(2-phenylpropan-2-yl)-1H-indole-3-carboxamide ;
CUMYL-5F-PICA ou 1-(5-Fluoropentyl)-N-(2-phenylpropan-2-yl)-1H-indole-3-carboxamide ;
NNE1 ou MN-24 ou NNEI ou AM-6527 ou N-1-naphthalenyl-1-pentyl-1H-indole-3-carboxamide ;
5F-MN-24 ou 5F-NNEI ou 1-(5-Fluoropentyl)-N-(1-naphthyl) indole-3-carboxamide ;
MN-25 ou UR-12 ou 7-methoxy-1-(2-morpholin-4-ylethyl)-N-[(1R, 3S, 4S)-2,2,4-trimethyl-3-bicyclo [2.2.1] heptanyl] indole-3-carboxamide ;
SDB-001 ou APICA ou 2NE1 ou N-(1-adamantyl)-1-pentylindole-3-carboxamide ;
STS-135 ou 5F-APICA ou N-(Adamantan-1-yl)-1-(5-fluoropentyl)-1H-indole-3-carboxamide ;
SDB-006 ou N-benzyl-1-pentyl-1H-indole-3-carboxamide ;
PX-1 ou 5F-APP-PICA ou SRF-30 ou (S)-N-(1-amino-1-oxo-3-phenylpropan-2-yl)-1-(5-fluoropentyl)-1H-indole-3-carboxamide ;
5F-AMP ou (N-(cyclopropylmethyl)-1-(5-fluoropentyl)-1H-indole-3-carboxamide ;
5F-PY-PICA 1-(5-fluoropentyl)-3-(pyrrolidine-1-carbonyl)-1H-indole ;
MEPIRAPIM ou (4-methylpiperazin-1-yl) (1-pentyl-1H-indol-3-yl) methanone ;
MMB-CHMICA ou AMB-CHMICA ou methyl N-[1-(cyclohexylmethyl)-1H-indole-3-carbonyl) valinate ;
5F-MDMB-PICA ou N-[[1-(5-fluoropentyl)-1H-indol-3-yl] carbonyl]-3-methyl-L-valine, methyl ester.
-Dérivés du 3-carboxamide indazole
-avec un substitut sur l'azote en position 1 du noyau indazole type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau indazole soit par ailleurs substitué ou non ;
-avec l'azote du pont carboxamide intégré dans un cycle ou portant un substitut de type cumyl, naphtyl, adamantanyl, benzyl, bicyclo [2.2.1] heptanyl, ou portant un groupement de type 1-alkoxy-1-oxo-butan-2-yl, 1-amino-1-oxo-butan-2-yl, que ce groupement soit lui-même substitué ou non en position 3 par un ou deux substituts de type alkyl, cycloalkyl ou phenyl.
Notamment :
AB-FUBINACA ou N-[(1S)-1-(aminocarbonyl)-2-methylpropyl]-1-[(2-fluorophenyl) methyl]-1H-indazole-3-carboxamide ;
5F-AB-PINACA ou N-[(2S)-1-amino-3-methyl-1-oxobutan-2-yl]-1-(5-fluoropentyl) indazole-3-carboxamide ;
MDMB-FUBINACA ou MDMB (N)-Bz-F ou FUB-MDMB ou methyl (2S)-2-{ [1-[(4-fluorophenyl) methyl] indazole-3-carbonyl] amino }-3,3-dimethylbutanoate ;
ADB-PINACA ou N-(1-Amino-3,3-dimethyl-1-oxo-2-butanyl)-1-pentyl-1H-indazole-3-carboxamide ;
5F-ADB-PINACA ou N-(1-Amino-3,3-dimethyl-1-oxobutan-2-yl)-1-(5-fluoropentyl)-1H-indazole-3-carboxamide ;
5F-AMB ou 5F-MMB-PINACA ou 5F-AMB-PINACA ou methyl (2S)-2-{ [1-(5-fluoropentyl) indazole-3-carbonyl] amino }-3-methylbutanoate ;
5C-AKB-48 ou N-(adamantan-1-yl)-1-(5-chloropentyl)-1H-indazole-3-carboxamide :
APINACA ou AKB-48 ou N-(1-adamantyl)-1-pentylindazole-3-carboxamide) ;
FUB-APINACA ou FUB-AKB-48 ou N-(adamantan-1-yl)-1-[(4-fluorophenyl) methyl]-1H-indazole-3-carboxamide ;
5F-APP-PINACA ou FU-PX ou PX-2 ou PPA (N)-2201 ou (R)-N-(1-amino-1-oxo-3-phenylpropan-2-yl)-1-(5-fluoropentyl)-1H-indazole-3-carboxamide ;
CUMYL-PINACA ou SGT-24 ou 1-pentyl-N-(2-phenylpropan-2-yl)-1H-indazole-3-carboxamide ;
5F-CUMYL-PINACA ou SGT-25 ou C-Liquid ou 1-(5-fluoropentyl)-N-(1-methyl-1-phenylethyl)-1H-indazole-3-carboxamide ;
CUMYL-THPINACA ou SGT-42 ou 1-(oxan-4-ylmethyl)-N-(2-phenylpropan-2-yl) indazole-3-carboxamide ;
MN-18 ou N-(naphthalen-1-yl)-1-pentyl-1H-indazole-3-carboxamide ;
5F-MN18 ou 1- (5- fluoropentyl)- N- 1- naphthalenyl- 1H- indazole- 3- carboxamide.
-Carboxamide pyrrolo [3,2-c] pyridine ou dérivés du 3-carboxamide pyrrolo [3,2-c] pyridine
-avec un substitut sur l'azote en position 1 du noyau pyrrolo [3,2-c] pyridine type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau pyrrolo [3,2-c] pyridine soit par ailleurs substitué ou non ;
-avec un substitut sur l'azote du pont carboxamide de type naphtyl, substitué ou non.
Notamment :
5F-PCN ou 5F-MN-21 ou 1-(5-fluoropentyl)-N-(naphthalen-1-yl)-1H-pyrrolo [3,2-c] pyridine-3-carboxamide.
-Thiazolyl indole ou dérivés du 3-(4-thiazolyl) indole
-avec un substitut sur l'azote du noyau indole type alkyl, haloalkyl, halobenzyl, alkényl, cycloalkylméthyl, cycloalkyléthyl, methyl-oxane, 1-(N-méthylpiperidin-2-yl) méthyl ou 2-(4-morpholinyl) éthyl ;
-que le noyau indole soit par ailleurs substitué ou non ;
-que le noyau thiazole soit par ailleurs substitué ou non.
Notamment :
PTI-1 ou N, N-diethyl-N-((2-(1-pentyl-1H-indol-3-yl) thiazol-4-yl) methyl) ethanamine ;
PTI-2 ou N-(2-methoxyethyl)-N-((2-(1-pentyl-1H-indol-3-yl) thiazol-4-yl) methyl) propan-2-amine.
Champignons hallucinogènes, notamment des genres stropharia, conocybes et psilocybe
Chlorphentermine et ses sels, à l'exception de leurs préparations autres qu'injectables
Fenbutrazate et ses sels
kétamine, ainsi que ses sels et ses stéréoisomères
Khat (feuilles de Catha edulis, Celastracées)
Lévophacétopérane et ses sels
Lisdexamphétamine et ses sels
MBDB ou N-méthyl-1-(3,4- méthylènedioxyphényl)-2-butanamine et ses sels dans tous les cas où ils peuvent exister
Toute molécule dérivée de la cathinone, ses sels et ses stéréoisomères, avec :
-un substituant alkyl, phényl, alkoxy, alkylenedioxy, haloalkyl, halogéné sur le cycle phényl ;
-un substituant alkyl en position 3 ;
-un substituant alkyl ou dialkyl ou cyclique sur l'azote ; à l'exception du bupropion.
Toute structure dérivée du 2-amino-1-one propane par substitution en position 1 avec tout système monocyclique ou polycyclique, ainsi que ses sels et ses stéréoisomères.
Notamment :
-amfépramone ou diéthylpropion ou 2-diéthylamino-1-phénylpropan-1-one ;
-benzédrone ou 4-MBC ou méthylbenzylcathinone ou 1-(4-méthylphényl)-2-benzylaminopropan-1-one ;
-BMDB ou 2-benzylamino-1-(3,4-méthylènedioxyphényl) butan-1-one ;
-BMDP ou 3,4-MDBC ou 2-benzylamino-1-(3,4-méthylènedioxyphényl) propan-1-one ;
-bréphédrone ou 4-bromomethcathinone ou 4-BMC ou 1-(4-bromophényl)-2-méthylaminopropan-1-one ;
-buphédrone ou 2-(méthylamino)-1-phénylbutan-1-one ;
-butylone ou bk-MBDB ou 2-méthylamino-1-(3,4-méthylènedioxyphényl) butan-1-one ;
-dibutylone ou méthylbutylone ou bk-MBDB ou 2-diméthylamino-1-(3,4-méthylènedioxyphényl) butan-1-one ;
-diméthylone ou bk-MDDMA ou 1-(1,3-benzodioxol-5-yl)-2-(diméthylamino) propan-1-one ;
-3,4-DMMC ou 1-(3,4-diméthylphényl)-2-(méthylamino) propan-1-one ;
-4-EMC ou 4-éthylmethcathinone ou 2-méthylamino-1-(4-éthylphényl) propane-1-one ;
-éthylcathinone ou éthylpropion ou 2-éthylamino-1-phényl-propan-1-one ;
-4-éthylmethcathinone ou 4-EMC ou 2-méthylamino-1-(4-éthylphényl) propane-1-one ;
-fléphédrone ou 4-FMC ou 4-fluoromethcathinone ou 2-méthylamino-1-p-fluorophényl-propan-1-one ;
-3-FMC ou 3-fluoromethcathinone ou 2-méthylamino-1-(3-fluorophényl) propan-1-one ;
-iso-ethcathinone ou 1-éthylamino-1-phényl-propan-2-one ;
-iso-pentédrone ou 1-méthylamino-1-phényl-pentan-2-one ;
-MDMPP ou 1-(3,4-méthylènedioxyphényl)-2-méthyl-2-pyrrolidinyl-1-propanone ;
-MDPBP ou 1-(3,4-méthylènedioxyphényl)-2-(1-pyrrolidinyl)-1-butanone ;
-MDPPP ou 1-(3,4-méthylènedioxyphényl)-2-(1-pyrrolidinyl)-1-propanone ;
-MDPV ou MDPK ou 1-(3,4-méthylènedioxyphenol)-2-pyrrolidinyl-pentan-1-one ;
-méphédrone ou 4-MMC ou méthylmethcathinone ou 2-éthylamino-1-(4-méthylphényl) propane ;
-métamfépramone ou diméthylcathinone ou diméthylpropion ou 2-diméthylamino-1-phénylpropan-1-one ;
-methcathinone ou éphédrone ou 2-(methylamino)-1-phényl-propan-1-one ;
-methédrone ou PMMC ou 4-méthoxymethcathinone ou bk-PMMA ou 1-(4-méthoxyphényl)-2-(méthylamino) propan-1-one ;
-4-méthylbuphédrone ou 4-Me-MABP ou bk-N-méthyl-4-MAB ou 2-(méthylamino)-1-(4-méthylphényl) butan-1-one ;
-méthylone ou MDMCAT ou bk-MDMA ou 2-méthylamino-1-[3,4-méthylènedioxyphényl] propan-1-one ;
-MOPPP ou 4'-méthoxy-alpha-pyrrolidinopropiophénone ;
-MPBP ou 1-(4-méthylphényl)-2-(1-pyrrolidinyl)-1-butanone ;
-MPHP ou 4'-méthyl-alpha-pyrrolidinohexanophénone ;
-MPPP ou 4'-méthyl-alpha-pyrrolidinopropiophénone ;
-naphyrone ou naphthylpyrovalérone ou 1-naphthalen-2-yl-2-pyrrolidin-1-ylpentan-1-one ;
-1-naphyrone ou 1-naphthalen-1-yl-2-pyrrolidin-1-ylpentan-1-one ;
-N-éthyl buphédrone ou NEB ou 2-éthylamino-1-phénylbutan-1-one ;
-pentylone ou bk-MBDB ou 2-méthylamino-1-(3,4-méthylènedioxyphényl) pentan-1-one ;
-PPP ou 1-Phényl-2-(1-pyrrolidinyl)-1-propanone ;
-Pyrovalérone ou 1-(4-méthylphényl)-2-(1-pyrrolidinyl) pentan-1-one.
Nabilone et ses sels dans tous les cas où ils peuvent exister
Pentorex et ses sels, à l'exception de leurs préparations autres qu'injectables
Peyotl ou peyote, ses principes actifs et leurs composés naturels et synthétiques autres que la mescaline
Phénylacétone ou phényl-1 propanone-2
Tabernanthe iboga, Tabernanthe manii, ibogaïne, ses isomères, esters, éthers et leurs sels qu'ils soient d'origine naturelle ou synthétique ainsi que toutes préparations qui en contiennent
Tapentadol et ses sels
Tétrahydrocannabinols, leurs esters, éthers, sels ainsi que les sels des dérivés précités
Tilétamine et ses sels, à l'exception de leurs préparations injectables
TMA-2 ou 2,4,5-triméthoxyamphétamine
4-méthylamphétamine
5-IT ou 5-(2-aminopropyl) indole
Toute molécule (à l'exception du 25B-NBOMe, du 25C-NBOMe et du 25I-NBOMe) dérivée des phénéthylamines et des alpha-méthylphénéthylamines :
- substituée sur le cycle phényl de quelque manière que ce soit ;
et
- substituée sur le groupe amine par au moins un groupe benzyle, avec sur le cycle phényl un substituant alkoxy, alkylènedioxy, halogéné ou hydroxy.
Notamment :
25D-NBOMe ou 2C-D-NBOMe ou 2-(2,5-diméthoxy-4-méthylphényl)-N-(2-methoxybenzyl)éthanamine ;
25E-NBOMe ou 2C-E-NBOMe ou 2-(2,5-diméthoxy4-éthylphényl)-N-(2-méthoxybenzyl)éthanamine ;
25G-NBOMe ou 2C-G-NBOMe ou 2-(2,5-diméthoxy-3,4-diméthylphényl)-N-(2-méthoxybenzyl)éthanamine ;
25H-NBOMe ou 2C-H-NBOMe ou 2-(2,5-diméthoxyphényl)-N-(2-méthoxybenzyl)éthanamine ou 2,5-diméthoxy-N-(2-méthoxybenzyl)phénéthylamine ;
25N-NBOMe ou 2C-N-NBOMe ou 2-(2,5-diméthoxy-4-nitrophényl)-N-(2-méthoxybenzyl)éthanamine ;
25iP-NBOMe ou 2C-iP-NBOMe ou 2-[2,5-diméthoxy-4-(propan-2-yl)phényl]-N-(2-méthoxybenzyl)éthanamine ;
25I-NBMD ou cimbi-29 ou 2-(4-iodo-2,5-diméthoxyphényl)-N-[(2,3-méthylènedioxyphényl)méthyl]éthanamine ;
25I-NB34MD ou 2-(4-iodo-2,5-diméthoxyphényl)-N-[(3,4-méthylènedioxyphényl)méthyl]éthanamine ;
25I-NBF ou cimbi-21 ou 2-(4-iodo-2,5-diméthoxyphényl)-N-[(2-fluorophényl)méthyl]éthanamine ;
25I-NBOH ou cimbi-27 ou 2-(((4-iodo-2,5-diméthoxyphénéthyl)amino)méthyl)phénol ;
30C-NBOMe ou C30-NBOMe ou 2-(4-chloro-2,5-diméthoxyphényl)-N-(3,4,5-triméthoxybenzyl)éthanamine ;
4-EA-NBOMe ou 4-éthylamphétamine-NBOMe ;
4-MMA-NBOMe ou 4-méthylméthamphétamine-NBOMe ou N-[(2-méthoxyphényl)méthyl]-N-méthyl-1-(p-tolyl)propan-2-amine ;
3,4-DMA-NBOMe ou 3,4-diméthoxyamphétamine-NBOMe ou 1-(3,4-diméthoxyphényl)-N-[(2-méthoxyphényl)méthyl]propan-2-amine ;
5-APB-NBOMe ou 1-(benzofuran-5-yl)-N-[(2-méthoxyphényl)méthyl]propan-2-amine).
RH-34 ou 3-[2-(2-méthoxybenzylamino)éthyl]-1H-quinazoline-2,4-dione
- 3-fluorofentanyl ;
- 4-fluorobutyr (yl) fentanyl ;
- 4-méthoxybutyr (yl) fentanyl ;
- beta-hydroxythiofentanyl ;
- despropionylfentanyl ;
- despropionyl-2-fluorofentanyl ;
- isobutyr (yl) fentanyl ;
- méthoxyacétylfentanyl ;
- para-chloroisobutyrfentanyl ou 4-chloroisobutyrfentanyl ;
- tétrahydrofuranylfentanyl ou THF-F ;
- valerylfentanyl ;
- Diphénidine ou 1-(1,2-diphenylethyl) piperidine ou 1,2-DEP ou DPD ou DND ;
- Ephénidine ou N-ethyl-1,2-diphenylethylamine ou NEDPA ou EPE ;
- Méthoxphénidine ou méthoxyphénidine ou 1-[1-(2-methoxyphenyl)-2-phenylethyl] piperidine ou 2-MeO-diphénidine ou méthoxydiphénidine ou MXP.
2C-C ou 2,5-dimethoxy-4-chlorophenethylamine ou 1-(4-chloro-2,5-dimethoxyphenyl)-2-ethanamine ;
2C-D ou 2C-M ou 2,5-dimethoxy-4-methylphenethylamine ou 1-(4-methyl-2,5-dimethoxyphenyl)-2-ethanamine ;
2C-E ou 2,5-dimethoxy-4-ethylphenethylamine ou 1-(4-ethyl-2,5-dimethoxyphenyl)-2-ethanamine ;
2C-P ou 2,5-dimethoxy-4-propylphenethylamine ou 1-(4-propyl-2,5-dimethoxyphenyl)-2-ethanamine ;
2C-T-4 ou 2,5-dimethoxy-4-isopropylthiophenethylamine ou 2-[4-(isopropylthio)-2,5-dimethoxyphenyl] ethanamine ;
2C-T-21 ou 2,5-dimethoxy-4-fluoroethylthiophenethylamine ou 2-[2,5-dimethoxy-4-(2-fluoroethylthio) phenyl] ethanamine ;
bk-2C-B ou beta-kéto-2C-B ou 2-amino-1-(4-bromo-2,5-dimethoxyphenyl) ethanone ;
Toute molécule dérivée du noyau benzofurane :
- substituée par un groupement alpha éthylamine quelle que soit sa position sur le noyau benzofurane, que la fonction éthylamine soit elle-même substituée ou non sur l'azote par un ou plusieurs groupement alkyl et/ ou substituée ou non en position alpha par un groupement alkyl ;
- substituée ou non par ailleurs par un groupement alkoxy.
Notamment :
5-APB ou 5-(2-aminopropyl) benzofurane ;
6-APB ou 6-(2-aminopropyl) benzofurane ;
5-EAPB ou 5-(2-ethylaminopropyl) benzofurane ou 1-(1-benzofuran-5-yl)-N-ethylpropan-2-amine ;
6-EAPB ou 6-(2-ethylaminopropyl) benzofurane ou 1-(1-benzofuran-6-yl)-N-ethylpropan-2-amine ;
5-MAPB ou 5-(N-methyl-2-aminopropyl) benzofurane ou (1-(benzofuran-5-yl)-N-methylpropan-2-amine) ;
6-MAPB ou 6-(N-methyl-2-aminopropyl) benzofurane ou (1-(benzofuran-6-yl)-N-methylpropan-2-amine) ;
5-MBPB ou 5-MABB ou 1-(1-benzofuran-5-yl)-N-methylbutan-2-amine ;
5-MeO-DiBF ou 5-methoxy-N, N-diisopropylbenzofuranethylamine ou N-[2-(5-methoxy-1-benzofuran-3-yl) ethyl]-N-(propan-2-yl) propan-2-amine.
et
Toute molécule dérivée du noyau 2,3-dihydrobenzofurane :
- substituée par un groupement alpha éthylamine quelle que soit sa position sur le noyau 2,3-dihydrobenzofurane, que la fonction éthylamine soit elle-même substituée ou non sur l'azote par un ou plusieurs groupement alkyl et/ ou substituée ou non en position alpha par un groupement alkyl ;
- substituée ou non par ailleurs par un groupement alkoxy.
Notamment :
5-APDB ou 3-desoxy-MDA ou 5-(2-aminopropyl)-2,3-dihydrobenzofurane ou 1-(2,3-dihydro-1-benzofuran-5-yl) propan-2-amine ;
6-APDB ou 4-desoxy-MDA ou 6-(2-aminopropyl)-2,3-dihydrobenzofurane ou 1-(2,3-dihydro-1-benzofuran-6-yl) propan-2-amine ;
5-MAPDB ou 1-(2,3-dihydrobenzofuran-5-yl)-N-methylpropan-2-amine ou 1-(2,3-dihydrobenzofuran-5-yl)-N-methylpropan-2-amine ;
6-MAPDB ou 1-(2,3-dihydrobenzofuran-6-yl)-N-methylpropan-2-amine ou 1-(2,3-dihydro-1-benzofuran-6-yl)-N-methylpropan-2-amine ;
3.4-dichlorométhylphénidate (3.4-CTMP) et ses sels ;
4-fluoroéthylphénidate et ses sels ;
4-fluorométhylphénidate et ses sels ;
4-méthylméthylphénidate et ses sels ;
isopropylphénidate et ses sels ;
propylphénidate (PPH) et ses sels.
- Isotonitazène ou N, N-diéthyl-2-[[4-(1-méthyléthoxy) phényl] méthyl]-5-nitro-1H-benzimidazol-1-éthanamine.
- 1B-LSD ;
- 1P-ETH-LAD ;
- 1P-LSD ;
- ALD-52 ;
- AL-LAD ou ALLY-LAD ;
- ECPLA ;
- EIPLA ;
- ETH-LAD ;
- LAH ou LSH ;
- LAMPA ;
- LSA ;
- LSB ;
- LSM-775 ;
- LSZ ;
- MIPLA ;
- OML-632 ;
- PARGY-LAD ;
- PRO-LAD.
1.
1.1.A
- https://www.santepubliquefrance.fr/...s/articles/quelles-sont-les-drogues-illicites
- https://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/DADE2019.pdf
- https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000533085/
- https://www.drogues-info-service.fr/Tout-savoir-sur-les-drogues/Le-dico-des-drogues
- https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000034372039
- https://ansm.sante.fr/actualites/la...x-de-ses-derives-sur-la-liste-des-stupefiants
- https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000533085/
- Personnal findings on Telegram (screenshots at question)
- https://www.drogues-info-service.fr.../La-loi-et-les-drogues/Les-drogues-interdites
- https://ansm.sante.fr/actualites/la...x-de-ses-derives-sur-la-liste-des-stupefiants
- https://www.ofdt.fr/BDD/publications/docs/epfxfbj1.pdf
- https://www.ouest-france.fr/societe...n-france-bcf5b9f8-dd28-11ed-b05e-feb93315b60b
- https://www.entreprises.gouv.fr/fil...urs-chimiques/brochure-de-sensibilisation.pdf
- https://www.entreprises.gouv.fr/fil...-de-drogues-synthese-de-la-reglementation.pdf
- https://www.entreprises.gouv.fr/fil...chimiques-drogues/Synthese_reglementation.pdf
- https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000006165284/2020-12-16
- https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000006165284/
- https://www.santepubliquefrance.fr/...t-la-loi-en-cas-de-consommation-de-stupefiant
- https://www.drogues-info-service.fr...et-les-drogues/La-publicite-faite-aux-drogues
2.1
- Personnal findings on Telegram, Whatsapp, Snapchat (screenshots at question)
- https://similarweb.com/
- Personnal findings on Telegram, Whatsapp, Snapchat (screenshots at question)
- https://www.01net.com/app/uploads/2021/02/drogues-france.jpg
- https://www.radiofrance.fr/francein...s-promos-comme-dans-l-economie-legale-3858056
- https://www.01net.com/actualites/te...e-migre-vers-les-reseaux-sociaux-2031971.html
- https://images.bfmtv.com/x2sNZ0v7VQ...98x708/398x0/images/Capture-decran-193296.jpg
- https://www.medi1news.com/fr/article/312782.html
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By @Magicshroom et @France